La première des choses serait pour les politiques, même pour Ségolène Royal, d’aller voir de plus près dans les cités pourquoi les jeunes versent dans la délinquance, dans la violence.
La deuxième chose urgente serait de fiche par terre ces blocs de 8/10/20 étages, inhumains, humiliants, parce que cette façon de vivre forcée ne correspond pas à nos besoins fondamentaux. D’ailleurs, les riches ne s’y sont pas trompés puiqu’on en trouve aucun dans ces cages à poules.
Ne me dites pas qu’il y a aussi le problème du chômage. C’est vrai, mais dans les années 60/70, les gens travaillaient et le problème des cités existaient déjà. Il est vrai aussi, qu’en raison de la réduction des aides financières aux associations sportives et culturelles par la droite, l’encadrement des jeunes s’est réduit aussi, d’où l’explosion dans les cités. Il y avait une ligne jaune que la droite n’aurait jamais du franchir. Il y a des limites à tout, ce que la droite n’a pas encore compris. On a rien sans rien.
La première des choses serait pour les politiques, même pour Ségolène Royal, d’aller voir de plus près dans les cités pourquoi les jeunes versent dans la délinquance, dans la violence.
La deuxième chose urgente serait de fiche par terre ces blocs de 8/10/20 étages, inhumains, humiliants, parce que cette façon de vivre forcée ne correspond pas à nos besoins fondamentaux. D’ailleurs, les riches ne s’y sont pas trompés puiqu’on en trouve aucun dans ces cages à poules.
Ne me dites pas qu’il y a aussi le problème du chômage. C’est vrai, mais dans les années 60/70, les gens travaillaient et le problème des cités existaient déjà. Il est vrai aussi, qu’en raison de la réduction des aides financières aux associations sportives et culturelles par la droite, l’encadrement des jeunes s’est réduit aussi, d’où l’explosion dans les cités. Il y avait une ligne jaune que la droite n’aurait jamais du franchir. Il y a des limites à tout, ce que la droite n’a pas encore compris. On a rien sans rien.