Revenons donc au libre arbitre, si chère aux èglise, conjoint du mea-culpa.
C’est un peu plus difficile à affronter comme dèbat, je le comprends, meme et surtout pour les croyants... Du reste c’est pour ça que le dèbat dèvie sur le passé de ratzinger, plutot que sur le sujet de l’article. Facilité oblige.
Revenons donc au libre arbitre, si chère aux èglise, conjoint du mea-culpa.
C’est un peu plus difficile à affronter comme dèbat, je le comprends, meme et surtout pour les croyants... Du reste c’est pour ça que le dèbat dèvie sur le passé de ratzinger, plutot que sur le sujet de l’article. Facilité oblige.
Antoine