certes, on peine à garder son sérieux devant cette pantalonade. Mais il est certain qu’à partir du moment où les socialistes-à-la-française ont pu dire qu’ils étaient de gauche, et même, trouver des gens pour y croire (et : pour y croire encore, en certains cas), alors on voit mal pourquoi le fascistoïde-nabot, se gênerait.
certes, on peine à garder son sérieux devant cette pantalonade. Mais il est certain qu’à partir du moment où les socialistes-à-la-française ont pu dire qu’ils étaient de gauche, et même, trouver des gens pour y croire (et : pour y croire encore, en certains cas), alors on voit mal pourquoi le fascistoïde-nabot, se gênerait.