> L’UNION EUROPEENNE VEUT DETRUIRE LA VITICULTURE EUROPEENNE
20 novembre 2006, 15:33
La seule façon pour les viticulteurs de pouvoir résister à cette concurrence étrangère, c’est bien évidemment de commencer par faire de la qualité, car à cet endroit, les américains et C° ne sont vraiment pas bons dans ce domaine. La deuxième initiative des viticulteurs français serait d’initier le consommateur à la dégustation du bon vin, et la troisième de pratiquer des prix corrects, de façon à éviter la fuite des consommateurs vers des vins étrangers, peut-être moins chers, mais dégueulasses (peut-être bon au goût, mais dégueu à la façon dont il a été fait, et puis de la vigne OGM s’y cache aussi). Voilà, les pensées d’une consommatrice, amatrice de bon vin à petite dose et au repas seulement, à l’attention des petits vignerons français.
Quant à l’Union Européenne, il est de notoriété, qu’elle aime baisser le froc devant les américains, parce qu’ils sont un gros marché pour nous. L’animal qui est donné en sacrifie sur l’autel du fric, c’est bien-sûr le petit et moyen vigneron. C’est là que c’est écoeurant, une politique aussi trouble que le jus de chaussette ! C’est puant à souhait !
La seule façon pour les viticulteurs de pouvoir résister à cette concurrence étrangère, c’est bien évidemment de commencer par faire de la qualité, car à cet endroit, les américains et C° ne sont vraiment pas bons dans ce domaine. La deuxième initiative des viticulteurs français serait d’initier le consommateur à la dégustation du bon vin, et la troisième de pratiquer des prix corrects, de façon à éviter la fuite des consommateurs vers des vins étrangers, peut-être moins chers, mais dégueulasses (peut-être bon au goût, mais dégueu à la façon dont il a été fait, et puis de la vigne OGM s’y cache aussi). Voilà, les pensées d’une consommatrice, amatrice de bon vin à petite dose et au repas seulement, à l’attention des petits vignerons français.
Quant à l’Union Européenne, il est de notoriété, qu’elle aime baisser le froc devant les américains, parce qu’ils sont un gros marché pour nous. L’animal qui est donné en sacrifie sur l’autel du fric, c’est bien-sûr le petit et moyen vigneron. C’est là que c’est écoeurant, une politique aussi trouble que le jus de chaussette ! C’est puant à souhait !