PENDANT QU’ON SIFFLE UN PETIT CALVA AU GINGEMBRE...
... je vous donne connaissance d’un poème inédit d’Abdelatif LAÂBI,
parce qu’il est d’une très grande actualité...
"DU DROIT DE T’INSURGER
Du droit de t’insurger tu useras
quoiqu’il advienne
Du devoir de discerner
dévoiler
lacérer
chaque visage de l’abjection
tu t’acquitteras
à visage découvert
De la graine de lumière
dispensée à ton espèce
chue dans tes entrailles
tu te feras gardien et vestale
À ces conditions préalables
tu mériteras ton vrai nom
homme de parole
ou poète si l’on veut
(Janvier 2006)
Allez Claude, avant d’aller coucher, un dernier calva pour faire passer les médocs !
PENDANT QU’ON SIFFLE UN PETIT CALVA AU GINGEMBRE...
... je vous donne connaissance d’un poème inédit d’Abdelatif LAÂBI,
parce qu’il est d’une très grande actualité...
"DU DROIT DE T’INSURGER
Du droit de t’insurger tu useras
quoiqu’il advienne
Du devoir de discerner
dévoiler
lacérer
chaque visage de l’abjection
tu t’acquitteras
à visage découvert
De la graine de lumière
dispensée à ton espèce
chue dans tes entrailles
tu te feras gardien et vestale
À ces conditions préalables
tu mériteras ton vrai nom
homme de parole
ou poète si l’on veut
(Janvier 2006)
Allez Claude, avant d’aller coucher, un dernier calva pour faire passer les médocs !
Bonsoir et bises à tous,
NOSE