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7 décembre 2006, 08:50

C’est beau comme l’antique ça ressemble à un discours d’enterrement tu pourrais presque parler au passé. "On tire pas sur une ambulance, paix à son âme". Et non le PCF n’est débarrassé de son grands frère que depuis 1989 il ne fait de la politique à son compte que depuis peu en fait. Par contre dans les cadre du "dialogue EST-OUEST" il a joué toutes les cartes du contrôle social et empêché ou contrôlé toutes les tentatives subversives en Europe ’ Le PCF avait des places réservées à la CGT etc. ;). L’issue logique et le prix du renoncement ça a été la cogestion dont tu parles. C’est ce qui lui a valu l’adoubement des "sociaux-capitalistes" qu’on appelle maintenant "sociaux-libéraux" jusqu’à aujourd’hui et qui permet au PCF d’avoir autant d’ élus et pas d’électeur...
On trouve maintenant le problème de l’antilibéralisme, et la méfiance des militants et des non-militants, légitime, envers une organisation qui n’a pas vraiment fait preuve d’ouverture sur le mouvement social inorganisé et dont il se méfie comme d’une guigne. Les collectifs objets politiques, sans chef, c’est pas son truc, en plus poli les libertaires c’est pas son affaire. Alors il applique la vieille formule si tu peux pas casser,(essoufflement du mois de juin) contrôle (entrée en force depuis fin septembre-octobre...) et négocie, sauf que les collectifs c’est pas le PS et que les gens non-encartés des collectifs n’ont rien à négocier, car ils n’ont aucun pouvoir. Et que ça ne les intéresse pas en tant que tel. Sinon ils seraient dans les partis à déroulement de carrière. On taira les noms pour ne vexer personne... Alors nous voilà les uns et les autre militants sincères (j’exclu la minorité des carriéristes) devant l’immense défi de réussir à gauche dans l’unité la plus large et sans nous compromettre. "i had a dream" en français :" j’ai fait un rêve" La mise au point de la dernière chance ou l’on verra après une réunion audacieuse sortir d’un même pas et avec un seul nom tous les responsables politiques du mouvement antilibéral sans aucune exclusive. A cette heure tout est encore possible. Gilles collectif de PONTIVY. C’est beau comme l’antique ça ressemble à un discours d’enterrement tu pourrais presque parler au passé. "On tire pas sur une ambulance, paix à son âme". Et non le PCF n’est débarrassé de son grand frère que depuis 1989 il ne fait de la politique à son compte que depuis peu en fait. Par contre dans les cadre du "dialogue EST-OUEST" il a joué toutes les cartes du contrôle social et empêché ou contrôlé toutes les tentatives subversives en Europe ’ Le PCF avait des places réservées à la CGT etc.). L’issue logique et le prix du renoncement ça a été la cogestion dont tu parles. C’est ce qui lui a valu l’adoubement des "sociaux-capitalistes" qu’on appelle maintenant "sociaux-libéraux" jusqu’à aujourd’hui et qui permet au PCF d’avoir autant d’élus et pas d’électeur...
On trouve maintenant le problème de l’antilibéralisme, et la méfiance des militants et des non-militants, légitime, envers une organisation qui n’a pas vraiment fait preuve d’ouverture sur le mouvement social inorganisé et dont il se méfie comme d’une guigne. Les collectifs objets politiques, sans chef, ce n’est pas son truc, en plus poli les libertaires ce n’est pas son affaire. Alors il applique la vieille formule si tu ne peux pas casser, (essoufflement du mois de juin) contrôle (entrée en force depuis fin septembre-octobre...) et négocie, sauf que les collectifs ce n’est pas le PS et que les gens non-encartés des collectifs n’ont rien à négocier, car ils n’ont aucun pouvoir. Et que ça ne les intéresse pas en tant que tel. Sinon ils seraient dans les partis à déroulement de carrière. On taira les noms pour ne vexer personne... Alors nous voilà les uns et les autre militants sincères (j’exclu la minorité des carriéristes) devant l’immense défi de réussir à gauche dans l’unité la plus large et sans nous compromettre. "i had a dream" en français :" j’ai fait un rêve" La mise au point de la dernière chance ou l’on verra après une réunion audacieuse sortir d’un même pas et avec un seul nom tous les responsables politiques du mouvement antilibéral sans aucune exclusive. A cette heure tout est encore possible. Gilles collectif de PONTIVY.