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7 décembre 2006, 12:55

Il ne s’agit pas de prôner une révolution plus qu’une autre, ça n’a aucun intérêt à mon avis. depuis Spartacus il ya eu mille et une révolutions, révoltes etc Le problème, si problème il y a est de faire coexister, dans la réponse au choix qui nous semblent judicieux pour le plus grand monde, les deux faces du mouvement ouvrier. L’un fondé sur une idée d’avant garde et donc autoritaire, l’autre se voulant plus accompagnatrice d’un mouvement diffus aux multipes facettes ou tout et surtout le pouvoir est toujours possible à remettre en cause. Nous venons de faire l’expérience de ces deux approches dans nos collectifs unitaires. Il en ressort beaucoup de déception, l’un et l’autre des courants sûr de son bon droit revendique la "propriété" des collectifs et veut définir la forme et les moyens del’orthodoxie des collectifs, sans voir qu’en fait il n’y en pas. Tous les collectifs sont faits de militants antilibéraux, si on est tous d’accord sur cette axiome, alors tous les collectifs sont d’égale valeur fait de l’histoire de chacun individuellement et collectivement.
Aucun anathème ne pourrait être professer d’un militant à un autre militant si on les lassait seul entre eux dans une pièce à discuter. Tout dérape sitôt que l’on parle de pouvoir. Qui va commander, être reconnu, d’abord par ses pairs puis par les autres ?La commence tout le conflit entre les "non encarté" et les autres. Qui en fait veut le pouvoir et tout ses inconvénients, qui veut le contre-pouvoir et ses frustrations ? Nous avons pensé qu’en traversant ces deux réflèxions le mouvement sortirait par le haut et que l’Homme légitime suffirait, idée du double consensus. Et bien nous allons vérifier grandeur naure le 10 décembre si nous réussirons ce pari audacieux. je parle de pari mais c’est tout sauf un jeu ni une spéculation intelectuelle Gilles.Pontivy. .