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La mondialisation vue par Marx en 1848

6 janvier 2007, 21:01

Merci de renouer le fil rouge :

La pensée de Marx, je préfère cette expression à celle de marxisme, est d’une richesse incomparable. Elle n’à jamais été figée, toujours en mouvement, se dépassant et s’approfondissantt, sans angoisse narcissique.
Il est probablement un des grands penseurs de l’humanité. Dans la lignée des Socrate, Platon, Aristote, Spinoza, Kant, Hegel, et j’en rajouterai un autre Lacan.
Lacan disait de lui même qu’il n’était qu’un petit analyste.
Marx n’aurait jamais dit autre chose de lui même
Engels a dit à sa mort. Un grand penseur est mort.
Il n’a pas dit sa pensée nous éclairera pour la nuit des temps.
C’était tout simplement quelqu’un qui pensait sans cesse. Non pas pour le plaisir, mais par necessité : frayer un passage, maintenir un horizon.
De Feuerbach, Dans l’idéologie allemande, il regrettait avec une grande tristesse que celui çi se soit retrouvé coincé dans une petite ville bourgeoise, sans possibilité d’échanges avec les autres, sans horizons.

Aragon disait la femme est l’avenir de l’homme.
Engels pensait que la libération de la femme serait un des signes essentiels de la sortie de l’exploitation de l’homme par l’homme.
Lacan disait que le désir de l’homme c’était le désir de l’autre.

Je viens de passer sur le site de l’hérault, ils parlent tranquillement, avec chaleur.
Il réfléchissent, ils progressent.

Il faut absolument que cette dynamique reprenne.

Ils ne se méfient pas assez à mon avis des nouveau lamartines et autres du dix neuvième siècle qui s’étaient "autonominés" "AUTOPROCLAMES" dans un collectif national de l’époque et avait boussillé ainsi la révolution de 48 ou de trente , je ne sais plus.
Et combien l’horizon "parisen" est un petit horizon sans aucune pratique sociale autre que le discours et l’administratif. Horizon bien plus étriqué que la petite ville bourgeoise dans laquelle vivait Feuerbach.

Je n’aime pas les pseudonymes, mais je comprends qu’on s’en serve i. J’ai un nom pour mes amis et je n’ai donc pas besoin de me faire un nom. Ceci comme des millions et des millions de gens qui ne sentent pas anonymes pour autant.

Je vous envoient en vrac, ces idées qui sont ce qu’elle sont à cet instant ; et je remercie ce quelqu’un qui a eu l’idée de mettre ce petit morceaux de Marx.

De Marseille, une ville pleine de vie sociale.