Apologie de l’égoïsme destructeur, de tout ce qu’il puisse y avoir de méprisable dans l’obscénité ordinaire de la bourgeoisie . La femme y est un animal de compagnie. Ce poëme, c’est l’odeur du "pot au feu" qui imprègne les vêtements du rentier en goguette.
C’est une ode au paillasson sur lequel on essuie ses godasses pleines de merde. C’est un viol contre l’Amour, c’est une apologie de la domination ordinaire qui pue le fric et la bonne conscience de fantasmes bestiaux assouvis en cachette...
J’arrête là parce que la haine me gagne : ce texte sent le XIXième siècle, et s’il est de maintenant cela veut dire que nous sommes revenus au temps où les gosses travaillaient à l’âge de 7 ans, où l’on vendait les filles à Parisou ailleurs avant la puberté au bourgeois exigeant...Au fait c’est vrai mais nous y sommes ! JdesP
Apologie de l’égoïsme destructeur, de tout ce qu’il puisse y avoir de méprisable dans l’obscénité ordinaire de la bourgeoisie . La femme y est un animal de compagnie. Ce poëme, c’est l’odeur du "pot au feu" qui imprègne les vêtements du rentier en goguette.
C’est une ode au paillasson sur lequel on essuie ses godasses pleines de merde. C’est un viol contre l’Amour, c’est une apologie de la domination ordinaire qui pue le fric et la bonne conscience de fantasmes bestiaux assouvis en cachette...
J’arrête là parce que la haine me gagne : ce texte sent le XIXième siècle, et s’il est de maintenant cela veut dire que nous sommes revenus au temps où les gosses travaillaient à l’âge de 7 ans, où l’on vendait les filles à Parisou ailleurs avant la puberté au bourgeois exigeant...Au fait c’est vrai mais nous y sommes ! JdesP