Derrière des discours en apparence radicaux " interdiction des licenciements.." se cache une grande faiblesse sur les moyens et les pouvoirs à mobiliser pour transformer dans la réalité ( et non dans les discours ) la domination du capital financier. Rien de concret dans les propos de Besancenot sur l’intervention dans les gestions des entreprises, sur les financements à partir d’une nouvelle politique du crédit, les pouvoirs réels des salariés, des citoyens ,et élus mais c’est plus facile de faire appel à des solutions magiques. Les propositions économiques de la LCR sont en réalité très étatiste et social démocrate ou irréaliste.
Mais la différence entre la LCR et les communistes ne se fait pas sur le programme mais sur le positionnement politique qui vise à figer une gauche de la gauche et en prendre la tête. D’ou sa proposition d’opposition de gauche en cas de victoire de Royal. Cette situation serait une aubaine pour les classes dirigeantes et tous ceux qui dans le PS recherchent une recomposition au centre.
MGB a mille fois raisons de dénoncer cette impasse et d’en appeler à un rassemblement qui créerait les conditions d’une autre politique à gauche, d’ou la nécessité d’un bon score le 22 avril et lors des législatives. Cela fait écho à des millions de gens qui souffrent et qui veulent des améliorations tout de suite de leurs vies et pas dans la promesse illusoire d’un grand soir et de lendemains qui déchantent toujours.
Il faut rappeler cette réalité politique ( méconnue) à tous ces gens sincères, qu’ils ne veulent pas de Sarkosy et qui seraient tentés par Besançenot en passant envoyer un message de gauche, qu’ils font malheuresement le jeu de la droite et qu’ils freinent une dynamique de gauche pour l’emporter.
Enfin, il faudrait que certains se posent cette question et me donnent leurs explications : Si Besancenot était une menace pour le système, comment se fait-il qu’il bénéficie d’une complaisance sans pareil de la part des médias et de tous les bien pensants ?
Derrière des discours en apparence radicaux " interdiction des licenciements.." se cache une grande faiblesse sur les moyens et les pouvoirs à mobiliser pour transformer dans la réalité ( et non dans les discours ) la domination du capital financier. Rien de concret dans les propos de Besancenot sur l’intervention dans les gestions des entreprises, sur les financements à partir d’une nouvelle politique du crédit, les pouvoirs réels des salariés, des citoyens ,et élus mais c’est plus facile de faire appel à des solutions magiques. Les propositions économiques de la LCR sont en réalité très étatiste et social démocrate ou irréaliste.
Mais la différence entre la LCR et les communistes ne se fait pas sur le programme mais sur le positionnement politique qui vise à figer une gauche de la gauche et en prendre la tête. D’ou sa proposition d’opposition de gauche en cas de victoire de Royal. Cette situation serait une aubaine pour les classes dirigeantes et tous ceux qui dans le PS recherchent une recomposition au centre.
MGB a mille fois raisons de dénoncer cette impasse et d’en appeler à un rassemblement qui créerait les conditions d’une autre politique à gauche, d’ou la nécessité d’un bon score le 22 avril et lors des législatives. Cela fait écho à des millions de gens qui souffrent et qui veulent des améliorations tout de suite de leurs vies et pas dans la promesse illusoire d’un grand soir et de lendemains qui déchantent toujours.
Il faut rappeler cette réalité politique ( méconnue) à tous ces gens sincères, qu’ils ne veulent pas de Sarkosy et qui seraient tentés par Besançenot en passant envoyer un message de gauche, qu’ils font malheuresement le jeu de la droite et qu’ils freinent une dynamique de gauche pour l’emporter.
Enfin, il faudrait que certains se posent cette question et me donnent leurs explications : Si Besancenot était une menace pour le système, comment se fait-il qu’il bénéficie d’une complaisance sans pareil de la part des médias et de tous les bien pensants ?
Kiko