Je ne suis pas, loin s’en faut, un admirateur béat de ROYAL, et ceux qui ont déjà pu lire certaines de mes interventions le savent, mais je crois que face à l’avalanche médiatique visant à masquer la piètre prestation de leur champion, Arturo SARKOZY, il faut remettre certaines choses à leur place.
D’ailleurs, la prestation de Sarko a été si mauvaise que l’on trouve même certains de ses supporters pour venir s’exprimer sur Bellaciao, ce qui est pour le moins inhabituel !
Et que l’on voit tous ses thuriféraires ânonner le même refrain sur « le flou » et la « méconnaissance » des dossiers comme si Sarko avait été meilleur, alors qu’il a juste été menteur !
Pour ce qui est du nucléaire, par exemple, voyons l’intox médiatique visant à faire oublier le cafouillage Sarkozien :
Si la question posée était la part du nucléaire dans la consommation d’énergie en France, alors la réponse de ROYAL est la bonne puisqu’il ne s’agissait pas de la part du nucléaire dans la production d’énergie en France.
Et SARKOZY avait faux dans les deux cas.
Maintenant l’essentiel aurait été en effet, de parler de l’énergie comme d’un droit et non pas un produit et, dans cet ordre d’idées, d’évoquer ensuite la nécessité de construire un pôle public de l’énergie, le seul à même de garantir l’indépendance énergétique de la France, une égalité d’accès de tous à l’énergie et une politique énergétique de diversification et de durabilité dans la sécurité.
Cela aurait constitué aussi l’occasion de rappeler à Sarko ses mensonges sur EDF, la colère à cette occasion serait apparue d’autant plus saine.
Mais nous pouvons mesurer là tout ce qu’il nous reste à conquérir dans les luttes à venir, mais ne négligeons pas pour autant le danger que Sarko représente et la nécessité d’abord de le battre avec le bulletin S ROYAL.
Si nous sommes tous conscients que bien des batailles sont devant nous, les conditions dans lesquelles elles devront se mener ne sont pas secondaires, encore plus si l’on songe aux dégâts sociaux que cela peut entraîner.
Donc aucune illusion mais de la lucidité et de la détermination, et aussi, dans la mesure du possible, pas d’invectives inutiles, surtout avec des relents sexistes.
D’accord avec Ulrich, néanmoins ! ! !
Je ne suis pas, loin s’en faut, un admirateur béat de ROYAL, et ceux qui ont déjà pu lire certaines de mes interventions le savent, mais je crois que face à l’avalanche médiatique visant à masquer la piètre prestation de leur champion, Arturo SARKOZY, il faut remettre certaines choses à leur place.
D’ailleurs, la prestation de Sarko a été si mauvaise que l’on trouve même certains de ses supporters pour venir s’exprimer sur Bellaciao, ce qui est pour le moins inhabituel !
Et que l’on voit tous ses thuriféraires ânonner le même refrain sur « le flou » et la « méconnaissance » des dossiers comme si Sarko avait été meilleur, alors qu’il a juste été menteur !
Pour ce qui est du nucléaire, par exemple, voyons l’intox médiatique visant à faire oublier le cafouillage Sarkozien :
Si la question posée était la part du nucléaire dans la consommation d’énergie en France, alors la réponse de ROYAL est la bonne puisqu’il ne s’agissait pas de la part du nucléaire dans la production d’énergie en France.
Et SARKOZY avait faux dans les deux cas.
Maintenant l’essentiel aurait été en effet, de parler de l’énergie comme d’un droit et non pas un produit et, dans cet ordre d’idées, d’évoquer ensuite la nécessité de construire un pôle public de l’énergie, le seul à même de garantir l’indépendance énergétique de la France, une égalité d’accès de tous à l’énergie et une politique énergétique de diversification et de durabilité dans la sécurité.
Cela aurait constitué aussi l’occasion de rappeler à Sarko ses mensonges sur EDF, la colère à cette occasion serait apparue d’autant plus saine.
Mais nous pouvons mesurer là tout ce qu’il nous reste à conquérir dans les luttes à venir, mais ne négligeons pas pour autant le danger que Sarko représente et la nécessité d’abord de le battre avec le bulletin S ROYAL.
Si nous sommes tous conscients que bien des batailles sont devant nous, les conditions dans lesquelles elles devront se mener ne sont pas secondaires, encore plus si l’on songe aux dégâts sociaux que cela peut entraîner.
Donc aucune illusion mais de la lucidité et de la détermination, et aussi, dans la mesure du possible, pas d’invectives inutiles, surtout avec des relents sexistes.
Pedro DA NOBREGA