CONSTRUISONS *TOUS ENSEMBLE* CE GRAND *Parti Anticapitaliste Internationaliste Révolutionnaire*
4 mai 2007, 15:15
CN46400,
Bravo, tu progresses... Ca a une finesse toute martiale ton commentaire ....
"Vieux schnok", sous-entendu qu’on soutienne Berlusconi, etc...
Encore un petit effort....
Et surtout il s’agit d’essayer de cracher sur ceux qui s’interrogent sur les défaites répétées et font des propositions d’alliances (car j’imagine que ta lecture t’a fait sauter une ligne sur 4) ...
T’as raison... C’est plus facile.
Ca ne va pas.
Je répète, le PCF en est à une catastrophe et ne peut plus, avec ces seules forces, se rénover et reconquérir la confiance des travailleurs. Sinon ça serait fait.
On pensait qu’un PC à 7% c’était une catastrophe, puis à 3,3% et maintenant à moins de 2%, que faut-il penser ? Qu’on a toujours raison et que "l’ennemi nous a trahi" ? . On ne peut se contenter de cracher sur ceux qui posent le problème, qui regardent lucidement où nous en sommes sauf à se satisfaire du bradage des milliers de militants du PC.
Il faut une greffe, il faut des mélanges de "gènes", transformer le fer en acier exige d’autres ingrédients sinon on n’a qu’un matériau juste utile pour ferrer les ânes.
Changer nécessite de chercher à s’allier avec ceux qui sont tout autant communistes que ceux du PCF. Et tous ceux, même si ils utilisent d’autres mots, sont pour le pouvoir aux travailleurs, sont pour que la démocratie pénètre partout , notemment dans les grandes entreprises privées et d’état, sont pour que les individus aient le plus de pouvoirs possibles sur leur propres existences.
L’existence d’autres courants politiques que le PCF, se revendiquant de cet idéal, cette recherche, cette bataille, courants existant dans la durée (ce n’est donc pas un phénomène "petit bourgeois" passager) et ayant une influence non négligeable , montre la nécessité de la recherche d’une alliance puis de viser à un nouveau parti, ou organisation ou... , afin de s’enrichir politiquement et se renforcer.
Sans cela, on se retrouve toujours avec un courant social-libéral qui se retrouve à porter toute l’espérance de la gauche face à une droite extrême.
CN46400,
Bravo, tu progresses... Ca a une finesse toute martiale ton commentaire ....
"Vieux schnok", sous-entendu qu’on soutienne Berlusconi, etc...
Encore un petit effort....
Et surtout il s’agit d’essayer de cracher sur ceux qui s’interrogent sur les défaites répétées et font des propositions d’alliances (car j’imagine que ta lecture t’a fait sauter une ligne sur 4) ...
T’as raison... C’est plus facile.
Ca ne va pas.
Je répète, le PCF en est à une catastrophe et ne peut plus, avec ces seules forces, se rénover et reconquérir la confiance des travailleurs. Sinon ça serait fait.
On pensait qu’un PC à 7% c’était une catastrophe, puis à 3,3% et maintenant à moins de 2%, que faut-il penser ? Qu’on a toujours raison et que "l’ennemi nous a trahi" ? . On ne peut se contenter de cracher sur ceux qui posent le problème, qui regardent lucidement où nous en sommes sauf à se satisfaire du bradage des milliers de militants du PC.
Il faut une greffe, il faut des mélanges de "gènes", transformer le fer en acier exige d’autres ingrédients sinon on n’a qu’un matériau juste utile pour ferrer les ânes.
Changer nécessite de chercher à s’allier avec ceux qui sont tout autant communistes que ceux du PCF. Et tous ceux, même si ils utilisent d’autres mots, sont pour le pouvoir aux travailleurs, sont pour que la démocratie pénètre partout , notemment dans les grandes entreprises privées et d’état, sont pour que les individus aient le plus de pouvoirs possibles sur leur propres existences.
L’existence d’autres courants politiques que le PCF, se revendiquant de cet idéal, cette recherche, cette bataille, courants existant dans la durée (ce n’est donc pas un phénomène "petit bourgeois" passager) et ayant une influence non négligeable , montre la nécessité de la recherche d’une alliance puis de viser à un nouveau parti, ou organisation ou... , afin de s’enrichir politiquement et se renforcer.
Sans cela, on se retrouve toujours avec un courant social-libéral qui se retrouve à porter toute l’espérance de la gauche face à une droite extrême.
Copas