Le seul problème c’est que l’espérance n’est pas la certitude.
Alors 2 petites idées pour un vrai débat et pas pour des invectives.
quand dans l’histoire du monde ouvrier, en dehors d’une situation exceptionnelle, (situation de guerre)
il y’a eut révolte et grand mouvement populaire ?
plutôt après une défaite électorale ?
plutôt après une progression ou une victoire électorale ?
En 1936, après une victoire électorale
En 1968, une forte progression de la gauche en 1967.
Donc faciliter une victoire de Sarkosy en prônant l’abstention, ne me semble pas particulièrement une stratégie propre à faciliter l’intervention de la rue tant espérée par notre interlocuteur précédent.
La deuxième idée, dans la continuité, c’est que je trouve d’une grande stupidité d’opposer, les urnes et les luttes. Comme si les unes et les autres n’étaient pas des armes complémentaires à la remise en cause des pouvoirs des représentants du Capital.
Comment croire à un développement des luttes, sans que se construise simultanément la possibilité d’un débouché politique. et comment ne pas voir que sans développement des luttes ils ne peut y’avoir de grandes avancée sociales, économiques, démocratiques. (expérience 1981 devrait nous servir de leçon).
En fait la seule certitude que je puisse avoir, c’est que si Sarkosy est élu, les attaques contre le droit de grêve, la criminalisation de l’action syndicale vont redoubler.
Donc je ne lui laisserai pas cette chance, en prônant l’abstention.
Le seul problème c’est que l’espérance n’est pas la certitude.
Alors 2 petites idées pour un vrai débat et pas pour des invectives.
quand dans l’histoire du monde ouvrier, en dehors d’une situation exceptionnelle, (situation de guerre)
il y’a eut révolte et grand mouvement populaire ?
plutôt après une défaite électorale ?
plutôt après une progression ou une victoire électorale ?
En 1936, après une victoire électorale
En 1968, une forte progression de la gauche en 1967.
Donc faciliter une victoire de Sarkosy en prônant l’abstention, ne me semble pas particulièrement une stratégie propre à faciliter l’intervention de la rue tant espérée par notre interlocuteur précédent.
La deuxième idée, dans la continuité, c’est que je trouve d’une grande stupidité d’opposer, les urnes et les luttes. Comme si les unes et les autres n’étaient pas des armes complémentaires à la remise en cause des pouvoirs des représentants du Capital.
Comment croire à un développement des luttes, sans que se construise simultanément la possibilité d’un débouché politique. et comment ne pas voir que sans développement des luttes ils ne peut y’avoir de grandes avancée sociales, économiques, démocratiques. (expérience 1981 devrait nous servir de leçon).
En fait la seule certitude que je puisse avoir, c’est que si Sarkosy est élu, les attaques contre le droit de grêve, la criminalisation de l’action syndicale vont redoubler.
Donc je ne lui laisserai pas cette chance, en prônant l’abstention.
Michel Pujol