... surtout si vous pensez que le LINKS est un "modèle", c’est de ne pas voir les débats, pour ne pas dire les contradictions, qui traversent le PS. Comment peut-on refuser de tenir compte de gens comme Mélenchon, Emmanuelli, Glavany, etc. quand on réfléchit à l’avenir de la gauche ?
Et puis, si vous examinez bien le processus qui conduit à la construction du LINKS, n’oubliez pas qu’il s’agit pour une part, de rassembler et refondre un parti de l’Est et un parti de l’Ouest...
Il y a une singularité de l’histoire allemande qui n’est pas transposable.
Ce qui est transposable c’est :
– la faillite du système du "communisme de caserne" ;
– la faillite de la social démocratie qui se comporte de plus en plus comme un gestionnaire intégré au capitalisme financier ;
– la nécessité de construire des alliances efficaces pour contester l’ordre établi ;
– la volonté des peuples de se donner les outils de contestation d’un ordre international injuste.
VOTRE ERREUR, JE PENSE...
... surtout si vous pensez que le LINKS est un "modèle", c’est de ne pas voir les débats, pour ne pas dire les contradictions, qui traversent le PS. Comment peut-on refuser de tenir compte de gens comme Mélenchon, Emmanuelli, Glavany, etc. quand on réfléchit à l’avenir de la gauche ?
Et puis, si vous examinez bien le processus qui conduit à la construction du LINKS, n’oubliez pas qu’il s’agit pour une part, de rassembler et refondre un parti de l’Est et un parti de l’Ouest...
Il y a une singularité de l’histoire allemande qui n’est pas transposable.
Ce qui est transposable c’est :
– la faillite du système du "communisme de caserne" ;
– la faillite de la social démocratie qui se comporte de plus en plus comme un gestionnaire intégré au capitalisme financier ;
– la nécessité de construire des alliances efficaces pour contester l’ordre établi ;
– la volonté des peuples de se donner les outils de contestation d’un ordre international injuste.
NOSE DE CHAMPAGNE