Le capitalisme n’est pas mort, le communisme non plus !
24 juin 2007, 22:44
j’ai le sentiment d’avoir déjà lu cela quelquepart...et même de l’avoir pensé et repensé après chaque déception électorale !
Il doit y avoir une autre réflexion à ajouter , "pour être à la hauteur" de ...
"ce que l’ Histoire attend " d’un parti communiste encore en vie :
S’instituer "université permanente du peuple", c’est ambitieux, mais ne serait-il pas temps d’imaginer la réalité telle qu’elle est peut-être, indépendamment de ce que l’on croit ?
j’imagine que si nous prenons "du retard" à nous situer dans "la réalité", cette dernière ne nous attendra pas.
Cette "réalité" c’est celle d’un peuple dominé et même "transcendé" par une idéologie dominante, et pour qui de temps à autres, " trop c’est trop", et donc "qui sort"...dans des associations "libres".
Mais c’est la réalité d’une riche vie associative cherchant à combler la pauvreté des relations humaines de cette société, et à mon avis, il faut miser sur cette floraison de "réactions civiques" intermittentes :
là se trouvent les multiples valeurs éclatées qui peuvent se fédérer, et nous devons jouer collectifs encore et encore, car c’est dans les collectifs qu’on apprend à "se parler entre citoyens disponibles".
Il faut un parti ouvert , avec lequel les esprits se libèrent de l’idéologie dominante, sans forcément adhérer à une idéologie de substitution, mais en y puisant des ingrédients utiles à leur "liberté critique".
Car alors, un peuple "de gauche " se reformera "de lui-même" , avec une "autonomie" lui faisant trouver le cap d’un "affranchissement", c’est-à-dire, la polarisation qui ordonne dans chaque revendication "particulière" l’exigence "générale" du respect de "la personne humaine " :
si je me bats pour une "sécurité sociale d’emploi et de formation", c’est parceque je me projette dans un "devenir humain essentiel".
j’ai le sentiment d’avoir déjà lu cela quelquepart...et même de l’avoir pensé et repensé après chaque déception électorale !
Il doit y avoir une autre réflexion à ajouter , "pour être à la hauteur" de ...
"ce que l’ Histoire attend " d’un parti communiste encore en vie :
S’instituer "université permanente du peuple", c’est ambitieux, mais ne serait-il pas temps d’imaginer la réalité telle qu’elle est peut-être, indépendamment de ce que l’on croit ?
j’imagine que si nous prenons "du retard" à nous situer dans "la réalité", cette dernière ne nous attendra pas.
Cette "réalité" c’est celle d’un peuple dominé et même "transcendé" par une idéologie dominante, et pour qui de temps à autres, " trop c’est trop", et donc "qui sort"...dans des associations "libres".
Mais c’est la réalité d’une riche vie associative cherchant à combler la pauvreté des relations humaines de cette société, et à mon avis, il faut miser sur cette floraison de "réactions civiques" intermittentes :
là se trouvent les multiples valeurs éclatées qui peuvent se fédérer, et nous devons jouer collectifs encore et encore, car c’est dans les collectifs qu’on apprend à "se parler entre citoyens disponibles".
Il faut un parti ouvert , avec lequel les esprits se libèrent de l’idéologie dominante, sans forcément adhérer à une idéologie de substitution, mais en y puisant des ingrédients utiles à leur "liberté critique".
Car alors, un peuple "de gauche " se reformera "de lui-même" , avec une "autonomie" lui faisant trouver le cap d’un "affranchissement", c’est-à-dire, la polarisation qui ordonne dans chaque revendication "particulière" l’exigence "générale" du respect de "la personne humaine " :
si je me bats pour une "sécurité sociale d’emploi et de formation", c’est parceque je me projette dans un "devenir humain essentiel".