Nous allons nous intéresser aujourd’hui à une vermine dont la recrudescence de prolifération réclame une connaissance approfondie afin d’envisager les moyens les plus appropriés à son éradication. Il s’agit du Libre Penseur Rex, un redoutable être monocellulaire rouge-de-bleu, qui a trouvé dans la proximité des forums d’internet, auprès des ordinateurs et leurs enchevêtrements de câbles, leurs claviers aux touches poisseuses, la chaleur constante émanant des unités centrales et la phosphorescence blafarde des moniteurs, un environnement idéal à sa multiplication.
C’est une forme de vie végétative, très fruste, dotée d’un système cérébral primitif, réduit à sa plus simple expression, bistable commuté blanc/noir oui/non allumé/éteint, quoique plus souvent éteint qu’allumé. Pour rudimentaire que soit ce système il n’en est pas moins largement suffisant à assurer l’ersatz de pensée articulée qui monopolise l’essentiel de ses maigres ressources intellectuelles, et qui est presque entièrement constituée d’aggressions vindicatives ainsi que d’une croyance inébranlable en la supériorité de son catéchisme national-républicain.
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Torquemada de supérette française de France, le Libre Penseur Rex se caractérise par une vacuité totale associée à un manque de discernement provoqué par l’absence d’état transitionnel, qui est rappelons le brièvement, une conséquence directe de sa nature bistable, et qui perturbe profondément son sens des valeurs, le conduit à prendre toute institution qui n’est pas, à son image, une et indivisible, pour un système obscurantiste et faciste, comme les quelques exemples de sophismes suivants peuvent le caractériser :
Diwan = Ecole privée = Curés <> République = FACHO
Breton = Roparz Hemon = Collaboration = SS = FACHO
Région = Fédéralisme <> France unie et indivisible <> République = FACHO
44 = PDDL = France = Egalité = Intégration = …. MA ERROR
Il s’agit cependant d’un moindre mal, les cas les plus graves sombrant irrémédiablement dans une fantasmagorie à caractère paranoïdo-schizoïdale caractérisée par des crises de délire aiguë pendant lesquelles le sujet se prend pour un héroïque résistant en lutte contre des forces innombrables à la solde d’un oppresseur totalitaire et omniprésent auquel il donne le nom de DECENTRALISATION.
En proie à de fréquentes hallucinations toujours accompagnées de délire de la persécution il voit partout ce qu’il appelle des nationalistes. Cette obsession à caractère monomaniaque trouve vraisemblablement ses racines dans le refoulement d’une image de soi ( c’est-à-dire de son attachement à la NATION française) qu’il projette sur les autres pour tenter vainement d’exorciser sa nature profonde, ainsi que des termes comme Vichy, colonies, Rainbow Warrior ou Paillote, qui hantent parfois ses nuits et le réveille en sueur après de trop furtifs accès de lucidité. Peu familier du freudisme des tréfonds nous nous abstiendrons donc de pousser trop loin la description de troubles psychiques réclamant l’intervention impérative d’un psychiatre familier de ces pathologies nées de lectures conditionnées et nostalgiques d’ouvrages scolaires de l’Histoire de France où de fascinantes cartes attestent de combien la Liberté pouvait jadis éclairer le Monde de Paris jusqu’à Tananarive.
Un sectarisme profond, séquelle des états hallucinatoires précédemment décrits l’amène à accorder une foi aveugle ainsi qu’un intérêt parfaitement démesuré à l’expression de n’mporte quel crétin du moment qu’il est approuvé par son comité d’éthique André Glucksteino-chevènementiste et ses relais patentés.
Il communique avec ses semblables au moyen d’un langage rudimentaire au contenu sémantique de 10 mots mais amplement suffisant compte tenu de la faiblesse intrinsèque du message qu’il véhicule. Ce langage est principalement composé de métatermes dont un revient systématiquement, comme on l’a vu, il s’agit du terme « FACHO » censé rendre compte de tout, personne ou situation échappant à son très faible entendement.
Il manifeste parfois bruyamment une joie difficilement compréhensible pour l’observateur et en laquelle d’éminents théoriciens ont voulu y voir l’expression d’un embryon de sens de l’humour. Sens de l’humour s’exerçant généralement au détriment du présumé régionaliste-séparatiste visé et illico déclaré inculte, puisqu’il n’a lu ni Renan, ni Voltaire, ni Saint-Just dont au demeurant il n’a lui-même fait que pomper quelques citations ici et là sur le web, faute de pouvoir décrypter le sens majeur d’œuvres dont il revendiquerait cependant volontiers le statut d’apôtre exclusif.
Comme on le voit au terme de cette brève description le Libre Penseur Rex est un nuisible, un parasite à classer dans la même famille que les cafards bruns ou les punaises vert-de-gris, mais il convient de rappeler qu’il s’agit là d’une espèce déviante, d’un avatar aussi néfaste qu’insignifiant du Citoyen Gauchilus Rex , qui lui est un animal charmant vivant activement à l’écart du bruit et des nuisances occasionnées par son redoutable cousin.
On constatera une fois de plus qu’à partir d’une même souche et dans des conditions d’existence identique la nature facétieuse peut produire de lamentables abrutis ou des gens délicieux.
Un moyen efficace pour lutter contre le Libre Penseur Rex est de manifester le plus grand des mépris pour ce familier des cultures de radis, rouges dehors, blancs dedans, et qui n’est en somme qu’à l’unisson avec d’autres variétés de pénibles d’obédience brun-noir, pour entonner sous des airs à peine différents l’hymne national : France d’abord.
Nous allons nous intéresser aujourd’hui à une vermine dont la recrudescence de prolifération réclame une connaissance approfondie afin d’envisager les moyens les plus appropriés à son éradication. Il s’agit du Libre Penseur Rex, un redoutable être monocellulaire rouge-de-bleu, qui a trouvé dans la proximité des forums d’internet, auprès des ordinateurs et leurs enchevêtrements de câbles, leurs claviers aux touches poisseuses, la chaleur constante émanant des unités centrales et la phosphorescence blafarde des moniteurs, un environnement idéal à sa multiplication.
C’est une forme de vie végétative, très fruste, dotée d’un système cérébral primitif, réduit à sa plus simple expression, bistable commuté blanc/noir oui/non allumé/éteint, quoique plus souvent éteint qu’allumé. Pour rudimentaire que soit ce système il n’en est pas moins largement suffisant à assurer l’ersatz de pensée articulée qui monopolise l’essentiel de ses maigres ressources intellectuelles, et qui est presque entièrement constituée d’aggressions vindicatives ainsi que d’une croyance inébranlable en la supériorité de son catéchisme national-républicain.
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Torquemada de supérette française de France, le Libre Penseur Rex se caractérise par une vacuité totale associée à un manque de discernement provoqué par l’absence d’état transitionnel, qui est rappelons le brièvement, une conséquence directe de sa nature bistable, et qui perturbe profondément son sens des valeurs, le conduit à prendre toute institution qui n’est pas, à son image, une et indivisible, pour un système obscurantiste et faciste, comme les quelques exemples de sophismes suivants peuvent le caractériser :
Diwan = Ecole privée = Curés <> République = FACHO
Breton = Roparz Hemon = Collaboration = SS = FACHO
Région = Fédéralisme <> France unie et indivisible <> République = FACHO
44 = PDDL = France = Egalité = Intégration = …. MA ERROR
Il s’agit cependant d’un moindre mal, les cas les plus graves sombrant irrémédiablement dans une fantasmagorie à caractère paranoïdo-schizoïdale caractérisée par des crises de délire aiguë pendant lesquelles le sujet se prend pour un héroïque résistant en lutte contre des forces innombrables à la solde d’un oppresseur totalitaire et omniprésent auquel il donne le nom de DECENTRALISATION.
En proie à de fréquentes hallucinations toujours accompagnées de délire de la persécution il voit partout ce qu’il appelle des nationalistes. Cette obsession à caractère monomaniaque trouve vraisemblablement ses racines dans le refoulement d’une image de soi ( c’est-à-dire de son attachement à la NATION française) qu’il projette sur les autres pour tenter vainement d’exorciser sa nature profonde, ainsi que des termes comme Vichy, colonies, Rainbow Warrior ou Paillote, qui hantent parfois ses nuits et le réveille en sueur après de trop furtifs accès de lucidité. Peu familier du freudisme des tréfonds nous nous abstiendrons donc de pousser trop loin la description de troubles psychiques réclamant l’intervention impérative d’un psychiatre familier de ces pathologies nées de lectures conditionnées et nostalgiques d’ouvrages scolaires de l’Histoire de France où de fascinantes cartes attestent de combien la Liberté pouvait jadis éclairer le Monde de Paris jusqu’à Tananarive.
Un sectarisme profond, séquelle des états hallucinatoires précédemment décrits l’amène à accorder une foi aveugle ainsi qu’un intérêt parfaitement démesuré à l’expression de n’mporte quel crétin du moment qu’il est approuvé par son comité d’éthique André Glucksteino-chevènementiste et ses relais patentés.
Il communique avec ses semblables au moyen d’un langage rudimentaire au contenu sémantique de 10 mots mais amplement suffisant compte tenu de la faiblesse intrinsèque du message qu’il véhicule. Ce langage est principalement composé de métatermes dont un revient systématiquement, comme on l’a vu, il s’agit du terme « FACHO » censé rendre compte de tout, personne ou situation échappant à son très faible entendement.
Il manifeste parfois bruyamment une joie difficilement compréhensible pour l’observateur et en laquelle d’éminents théoriciens ont voulu y voir l’expression d’un embryon de sens de l’humour. Sens de l’humour s’exerçant généralement au détriment du présumé régionaliste-séparatiste visé et illico déclaré inculte, puisqu’il n’a lu ni Renan, ni Voltaire, ni Saint-Just dont au demeurant il n’a lui-même fait que pomper quelques citations ici et là sur le web, faute de pouvoir décrypter le sens majeur d’œuvres dont il revendiquerait cependant volontiers le statut d’apôtre exclusif.
Comme on le voit au terme de cette brève description le Libre Penseur Rex est un nuisible, un parasite à classer dans la même famille que les cafards bruns ou les punaises vert-de-gris, mais il convient de rappeler qu’il s’agit là d’une espèce déviante, d’un avatar aussi néfaste qu’insignifiant du Citoyen Gauchilus Rex , qui lui est un animal charmant vivant activement à l’écart du bruit et des nuisances occasionnées par son redoutable cousin.
On constatera une fois de plus qu’à partir d’une même souche et dans des conditions d’existence identique la nature facétieuse peut produire de lamentables abrutis ou des gens délicieux.
Un moyen efficace pour lutter contre le Libre Penseur Rex est de manifester le plus grand des mépris pour ce familier des cultures de radis, rouges dehors, blancs dedans, et qui n’est en somme qu’à l’unisson avec d’autres variétés de pénibles d’obédience brun-noir, pour entonner sous des airs à peine différents l’hymne national : France d’abord.