Pas réussi à trouver le forum sur le site de RSF. Bien caché, le bougre.
par contre, j’ai été intéressée par la rubrique "Les prédateurs" - ça vous a un petit côté sensationnel bien émoustillant.
Etonnantes, ces photos : que des gens bronzés, à part Poutine qui fait un peu pâlichon...
J’ai cherché Bush, Sarko, des visages connus de nos belles démocraties occidentales... Nada.
Et puis, j’ai fini par comprendre.
Nos journalistes, pas besoin de les menacer, de les jeter en prison, de les torturer, en un mot, de les contraindre ; ils sont déjà tellement soumis aux puissances de l’argent qu’ils font exactement ce qu’on attend d’eux - et même plus - sans qu’on ait besoin de leur demander. Parfois, ils font même tellement de zèle que ça finit par faire un peu honte à ceux dont ils chantent à tue-tête les louanges. Ils posent eux-même leur muselière. Bien serrée. Et ils font en sorte qu’aucun trublion ne vienne agiter leur petit monde de connivences : ça se passe entre gens de bonne compagnie. Le licenciement, la mise au placard, c’est quand même plus humain que la schlage ou la baignoire !
Mais ça, RSF n’en parle pas.
Pas réussi à trouver le forum sur le site de RSF. Bien caché, le bougre.
par contre, j’ai été intéressée par la rubrique "Les prédateurs" - ça vous a un petit côté sensationnel bien émoustillant.
Etonnantes, ces photos : que des gens bronzés, à part Poutine qui fait un peu pâlichon...
J’ai cherché Bush, Sarko, des visages connus de nos belles démocraties occidentales... Nada.
Et puis, j’ai fini par comprendre.
Nos journalistes, pas besoin de les menacer, de les jeter en prison, de les torturer, en un mot, de les contraindre ; ils sont déjà tellement soumis aux puissances de l’argent qu’ils font exactement ce qu’on attend d’eux - et même plus - sans qu’on ait besoin de leur demander. Parfois, ils font même tellement de zèle que ça finit par faire un peu honte à ceux dont ils chantent à tue-tête les louanges. Ils posent eux-même leur muselière. Bien serrée. Et ils font en sorte qu’aucun trublion ne vienne agiter leur petit monde de connivences : ça se passe entre gens de bonne compagnie. Le licenciement, la mise au placard, c’est quand même plus humain que la schlage ou la baignoire !
Mais ça, RSF n’en parle pas.