J’ai du mal à comprendre Val, en réalité.
L’édito du 25 juin m’a vraiment interrogé sur ce qui se passe dans la tête de Val ;
pas tant à cause de Denis Robert et de clearstream, car je n’ai pas suivi l’affaire.
Mais surtout à cause du ton très méprisant ; un ton qu’on imagine bien mieux
chez un polémiste de cour toujours prêt à briller en société que chez un amoureux de la liberté.
Je ne comprends pas pourquoi Val s’acharne sur Chomsky, en particulier. L’a-t-il lu ? Ses attaques contre Chomsky me font tout à fait penser à celles qu’on peut voir dans le film "Manufacturing consent" qui était sorti il y a une quinzaine d’années, attaques qui provenaient d’un écrivain américain plutôt beau parleur et probablement talentueux. Mais que c’est puéril de vouloir avoir raison à tout prix !
Bon.
Hélas je rejoins la plupart de mes amis, qui ont arrêté de lire Charlie à cause des éditos de Val. Mercredi dernier je n’ai pas acheté Charlie, pour la première fois depuis 1991 (époque Grosse Bertha).
Je n’aurais pas du lire cet édito...
J’ai du mal à comprendre Val, en réalité.
L’édito du 25 juin m’a vraiment interrogé sur ce qui se passe dans la tête de Val ;
pas tant à cause de Denis Robert et de clearstream, car je n’ai pas suivi l’affaire.
Mais surtout à cause du ton très méprisant ; un ton qu’on imagine bien mieux
chez un polémiste de cour toujours prêt à briller en société que chez un amoureux de la liberté.
Je ne comprends pas pourquoi Val s’acharne sur Chomsky, en particulier. L’a-t-il lu ? Ses attaques contre Chomsky me font tout à fait penser à celles qu’on peut voir dans le film "Manufacturing consent" qui était sorti il y a une quinzaine d’années, attaques qui provenaient d’un écrivain américain plutôt beau parleur et probablement talentueux. Mais que c’est puéril de vouloir avoir raison à tout prix !
Bon.
Hélas je rejoins la plupart de mes amis, qui ont arrêté de lire Charlie à cause des éditos de Val. Mercredi dernier je n’ai pas acheté Charlie, pour la première fois depuis 1991 (époque Grosse Bertha).
Je n’aurais pas du lire cet édito...
Ronan Charpentier