Le malaise dans l’histoire Bétencourt, c’est l’inextricable mélange des genres...
Les catégories morales, l’analyse froide de la raison, ici, sont subverties par le plus bas dénominateur commun : l’émotion.
Lorsqu’on est vide de discours et que les contradictions sociétales sont alentours intenables, on essaye de rassembler les gens autours d’une image : un incendie de forêt sur les collines de Malibu, l’assassinat de deux français à Londres, etc.
L’histoire de la franco-colombienne relève de cette manipulation des esprits.
A noter cependant dans l’utilisation des icônes qui forcent l’empathie, la prédominance de sujets, très proches, des intérêts de la classe dominante.
Le malaise dans l’histoire Bétencourt, c’est l’inextricable mélange des genres...
Les catégories morales, l’analyse froide de la raison, ici, sont subverties par le plus bas dénominateur commun : l’émotion.
Lorsqu’on est vide de discours et que les contradictions sociétales sont alentours intenables, on essaye de rassembler les gens autours d’une image : un incendie de forêt sur les collines de Malibu, l’assassinat de deux français à Londres, etc.
L’histoire de la franco-colombienne relève de cette manipulation des esprits.
A noter cependant dans l’utilisation des icônes qui forcent l’empathie, la prédominance de sujets, très proches, des intérêts de la classe dominante.