Barroso veut imposer la culture des OGM, partout en Europe
2 mars 2009, 18:30
Voir aussi le scandale du chlordecone à la Martinique et en Guadeloupe. Cet insecticide interdit dès 1976 aux Etats Unis a, sous la pression des békés maîtres de la Martinique, continué à être utilisé aux Antilles jusqu’en septembre 1993 dans les bananeraies pour lutter contre les charançons. La contamination atteint des niveaux si élevés que ces deux îles détiennent aujourd’hui un triste record mondial, celui des cancer de la prostate sans parler de nombreux autres problèmes de santé extrêmement grave pour la population. Yves Hayot qui fait partie de l’une des principales familles béké qui ont mis les Antilles en coupe réglée fut l’un des principaux défenseurs du chlordécone et il réussit à obtenir, pour les planteurs de bananes, des dérogations pour pouvoir continuer à utiliser ce produit qui était interdit en France métropolitaine. Il faut également préciser que monsieur Yves Hayot était à l’époque président du syndicat des planteurs de bananes et qu’il commercialisait le chlordécone par l’intermédiaire d’une de ses sociétés après que le brevet de ce poison ait été racheté aux Etats unis afin d’en poursuivre la fabrication au Brésil. Au moment où les dérogations leur furent accordées par deux ministres de l’agriculture successifs, l’un socialiste : Louis Mermaz et l’autre le très éclectique Jean-Pierre Soissons, il faut savoir qu’il existait déjà sur le marché d’autres produits moins dangereux ce qui est écrit noir sur blanc dans l’accord de dérogation du ministère faux cul qui ouvrait ainsi le parapluie pour se protéger juridiquement de sa félonie. Les terres martiniquaises et guadeloupéennes ainsi que les rivières se retrouvent ainsi empoisonnées pour plusieurs centaines d’années. Nous devons donc tout faire pour empêcher ces vermines, et je pèse mes mots, de continuer à nuire. La Guadeloupe nous a montré le chemin, nous devons nous y engager vite et fort. La vie commence où s’arrête le capitalisme.
A voir le film de Romain Bolzinger : Les derniers maîtres de la Martinique.
A lire de Fabrice Nicolino et François Veillerette : Pesticides révélations sur un scandale français. Ed. Fayard.
Voir aussi le scandale du chlordecone à la Martinique et en Guadeloupe. Cet insecticide interdit dès 1976 aux Etats Unis a, sous la pression des békés maîtres de la Martinique, continué à être utilisé aux Antilles jusqu’en septembre 1993 dans les bananeraies pour lutter contre les charançons. La contamination atteint des niveaux si élevés que ces deux îles détiennent aujourd’hui un triste record mondial, celui des cancer de la prostate sans parler de nombreux autres problèmes de santé extrêmement grave pour la population. Yves Hayot qui fait partie de l’une des principales familles béké qui ont mis les Antilles en coupe réglée fut l’un des principaux défenseurs du chlordécone et il réussit à obtenir, pour les planteurs de bananes, des dérogations pour pouvoir continuer à utiliser ce produit qui était interdit en France métropolitaine. Il faut également préciser que monsieur Yves Hayot était à l’époque président du syndicat des planteurs de bananes et qu’il commercialisait le chlordécone par l’intermédiaire d’une de ses sociétés après que le brevet de ce poison ait été racheté aux Etats unis afin d’en poursuivre la fabrication au Brésil. Au moment où les dérogations leur furent accordées par deux ministres de l’agriculture successifs, l’un socialiste : Louis Mermaz et l’autre le très éclectique Jean-Pierre Soissons, il faut savoir qu’il existait déjà sur le marché d’autres produits moins dangereux ce qui est écrit noir sur blanc dans l’accord de dérogation du ministère faux cul qui ouvrait ainsi le parapluie pour se protéger juridiquement de sa félonie. Les terres martiniquaises et guadeloupéennes ainsi que les rivières se retrouvent ainsi empoisonnées pour plusieurs centaines d’années. Nous devons donc tout faire pour empêcher ces vermines, et je pèse mes mots, de continuer à nuire. La Guadeloupe nous a montré le chemin, nous devons nous y engager vite et fort. La vie commence où s’arrête le capitalisme.
A voir le film de Romain Bolzinger : Les derniers maîtres de la Martinique.
A lire de Fabrice Nicolino et François Veillerette : Pesticides révélations sur un scandale français. Ed. Fayard.