Sans doute sommes-nous au mieux des hommes en médiocre sursis (zaz)
4 septembre 2009, 14:16
–"Victoire contestée de la Françafrique" (Courrier International)
–« Ça va dégénérer, avertit un observateur gabonais. Tout le pays est au bord de l’embrasement. » (20 Minutes)
–"Au Gabon, les dernières convulsions de la Françafrique" (Figaro)
–"Gabon : Ali Bongo et les 40 %" (Libé)
Il y a quand même tous les dix ans environ de grands moments d’excellence dans la presse française qui montrent la qualité de l’analyse, le sens des valeurs, celui de la vérité objective, et que la presse n’est pas pourrie et sous l’influence servile du patronat ou du pouvoir politique.
On retrouve dans ces grandes heures Courrier international et le Figaro unis au coude à coude dans la certitude la plus exigeante, on sous-estime trop souvent le boulot qu’il a fallu fournir pour y parvenir.
Nous proposons une synthèse rapide ici, elle résume et rend grâce à la presse : les Français -et les Gabonais- ne sont plus pour le colonialisme et le néocolonialisme, ils ne sont plus pour la Françafrique, plus en conséquence pour les nostalgies dépassées du gaullisme, du pré carré, ou de l’agneau de présalé, ...
Français en ipod, iphone, vert écolo, nous ne marchons plus dans les trucs anciens rétro qui étaient des trucs véritablement de salauds. Il est objectif que ce ne sont quand même pas les Roumains ni même les libano-syriens qui sont mal vu à Port-Gentil.
Ah oui certes ! de l’eau est passé sous les ponts depuis Schweitzer et Lambaréné !
Que la France soit mal vue au Gabon est un incontournable de l’indiscutable avancée de l’histoire.
Nous ne reprocherons qu’un petit détail aux journalistes. La France n’est littéralement plus piffrée en France non plus. On aurait aimé que cela soit dit.
Un parisien de banlieue joint il y a une heure au téléphone portable nous a clairement assuré que ça devrait un de ces quatre très mal tourner. Français, vous n’avez pas fini d’en chier ! Et tout ça, il faut bien voir, parce que ça a légitimement mal commencé au Gabon ex-Bongo.
– "Victoire contestée de la Françafrique" (Courrier International)
– « Ça va dégénérer, avertit un observateur gabonais. Tout le pays est au bord de l’embrasement. » (20 Minutes)
– "Au Gabon, les dernières convulsions de la Françafrique" (Figaro)
– "Gabon : Ali Bongo et les 40 %" (Libé)
Il y a quand même tous les dix ans environ de grands moments d’excellence dans la presse française qui montrent la qualité de l’analyse, le sens des valeurs, celui de la vérité objective, et que la presse n’est pas pourrie et sous l’influence servile du patronat ou du pouvoir politique.
On retrouve dans ces grandes heures Courrier international et le Figaro unis au coude à coude dans la certitude la plus exigeante, on sous-estime trop souvent le boulot qu’il a fallu fournir pour y parvenir.
Nous proposons une synthèse rapide ici, elle résume et rend grâce à la presse : les Français -et les Gabonais- ne sont plus pour le colonialisme et le néocolonialisme, ils ne sont plus pour la Françafrique, plus en conséquence pour les nostalgies dépassées du gaullisme, du pré carré, ou de l’agneau de présalé, ...
Français en ipod, iphone, vert écolo, nous ne marchons plus dans les trucs anciens rétro qui étaient des trucs véritablement de salauds. Il est objectif que ce ne sont quand même pas les Roumains ni même les libano-syriens qui sont mal vu à Port-Gentil.
Ah oui certes ! de l’eau est passé sous les ponts depuis Schweitzer et Lambaréné !
Que la France soit mal vue au Gabon est un incontournable de l’indiscutable avancée de l’histoire.
Nous ne reprocherons qu’un petit détail aux journalistes. La France n’est littéralement plus piffrée en France non plus. On aurait aimé que cela soit dit.
Un parisien de banlieue joint il y a une heure au téléphone portable nous a clairement assuré que ça devrait un de ces quatre très mal tourner. Français, vous n’avez pas fini d’en chier ! Et tout ça, il faut bien voir, parce que ça a légitimement mal commencé au Gabon ex-Bongo.