PCF : proposition de listes Front de Gauche dans 18 régions
16 novembre 2009, 13:37, par GUILLOT
18 ou 17 , comme l’affirme ce matin l’Huma ? C’est l’offre nationale du PCF qui est proposée au militants communsites ,et non le projet de texte du FDG soumis à discussion depuis les 2 dernières rencontres unitaires.
Pour sortir du blocage des discussions et retourner dans un même cadre de rencontre, je ne vois que cette solution : une fusion technique entre le FDG, le NPA et d’autres composantes pour le 1° tour !
Le FDG et le NPA pourront chaucun proposer leur programme, l’un des 2 étant incompatible avec des accords de majorité de gestion.
Le PCF et le NPA doivent renoncer à vouloir imposer à l’autre son programme et sa stratégie. Sinon les 2 risquent d’apparaître aux yeux du public comme des vulgaires manoeuvriers cherchant à faire porter le chapeau de la division à l’autre.
Ainsi, tous le monde retrouve ses billes, car l’aspiration unitaire n’est pas dévoyée ni déçue par ce front électoral qui satisfait leur exigence d’alliance pour une autre gauche, le Front de gauche et le NPA peuvent continuer à faire campagne pour leur programme respectif, et les résultats électoraux plus prometteurs. En 2004 , les résultats de l’alliance LO-LCR (4,6%) n’additionnaient pas les votes attendus, alors que le programme était commun.
Essayons donc cette formule : un front électoral des anticapitalistes et des antilibéraux sur une déclaration commune consensuelle (battre la droite, la partie du programme faisant consensus (developpement des services publics, etc.. voir la suite dans l’appe au rassemblement) où chacun peut faire sa campagne sur ses propres objectifs.
Chiche que cette fois-ci les scores électoraux s’additionneront !
Il parait que ce genre d’accord existe déjà ailleurs qu’en France.
18 ou 17 , comme l’affirme ce matin l’Huma ? C’est l’offre nationale du PCF qui est proposée au militants communsites ,et non le projet de texte du FDG soumis à discussion depuis les 2 dernières rencontres unitaires.
Pour sortir du blocage des discussions et retourner dans un même cadre de rencontre, je ne vois que cette solution : une fusion technique entre le FDG, le NPA et d’autres composantes pour le 1° tour !
Le FDG et le NPA pourront chaucun proposer leur programme, l’un des 2 étant incompatible avec des accords de majorité de gestion.
Le PCF et le NPA doivent renoncer à vouloir imposer à l’autre son programme et sa stratégie. Sinon les 2 risquent d’apparaître aux yeux du public comme des vulgaires manoeuvriers cherchant à faire porter le chapeau de la division à l’autre.
Ainsi, tous le monde retrouve ses billes, car l’aspiration unitaire n’est pas dévoyée ni déçue par ce front électoral qui satisfait leur exigence d’alliance pour une autre gauche, le Front de gauche et le NPA peuvent continuer à faire campagne pour leur programme respectif, et les résultats électoraux plus prometteurs. En 2004 , les résultats de l’alliance LO-LCR (4,6%) n’additionnaient pas les votes attendus, alors que le programme était commun.
Essayons donc cette formule : un front électoral des anticapitalistes et des antilibéraux sur une déclaration commune consensuelle (battre la droite, la partie du programme faisant consensus (developpement des services publics, etc.. voir la suite dans l’appe au rassemblement) où chacun peut faire sa campagne sur ses propres objectifs.
Chiche que cette fois-ci les scores électoraux s’additionneront !
Il parait que ce genre d’accord existe déjà ailleurs qu’en France.
Guillot