RÉGIONALES BEZIERS : UNITÉ ANTICAPITALISTE en rupture avec Frêche...
20 novembre 2009, 12:53
marre de la guéguerre vieux stals-trostkistes !
Tu te trompes, Simon, ou tout du moins tu surestimes infiniment l’influence de ce que tu appelles "guéguerre vieux stals-trotskistes". ça c’était vrai au siècle dernier.
La "guéguerre", c’est entre, pour faire simple,
– ceux qui pensent que la seule solution pour avancer est de faire des majorités avec le PS (gauche plurielle) en espérant obtenir un compromis acceptable (PCF et PG),
– ceux qui pensent que cette stratégie a démontré qu’elle était une impasse et cherchent donc à rassembler hors de l’alliance avec le PS pour construire une opposition de gauche, dans l’espoir qu’à terme ce bloc deviendra majoritaire à gauche (NPA).
Il n’est pas positif, à mon sens, de cacher ou de minimiser ces divergences profondes et réelles, de les déguiser en guéguerre d’un autre âge, même par respectable passion pour l’unité.
Chacun voit midi à sa porte, mais moi je regrette infiniment que l’on n’ait pas réussi à s’unir sur la base de l’indépendance vis à vis du PS, comme le proposait le NPA. Je ne vois pas ce que risquait vraiment le PCF à tenter cette rupture avec la stratégie suivie depuis des dizaines d’années (qui lui a fait tant de mal !), quitte à y revenir au bout d’un moment en cas de bilan négatif...
Tu te trompes, Simon, ou tout du moins tu surestimes infiniment l’influence de ce que tu appelles "guéguerre vieux stals-trotskistes". ça c’était vrai au siècle dernier.
La "guéguerre", c’est entre, pour faire simple,
– ceux qui pensent que la seule solution pour avancer est de faire des majorités avec le PS (gauche plurielle) en espérant obtenir un compromis acceptable (PCF et PG),
– ceux qui pensent que cette stratégie a démontré qu’elle était une impasse et cherchent donc à rassembler hors de l’alliance avec le PS pour construire une opposition de gauche, dans l’espoir qu’à terme ce bloc deviendra majoritaire à gauche (NPA).
Il n’est pas positif, à mon sens, de cacher ou de minimiser ces divergences profondes et réelles, de les déguiser en guéguerre d’un autre âge, même par respectable passion pour l’unité.
Chacun voit midi à sa porte, mais moi je regrette infiniment que l’on n’ait pas réussi à s’unir sur la base de l’indépendance vis à vis du PS, comme le proposait le NPA. Je ne vois pas ce que risquait vraiment le PCF à tenter cette rupture avec la stratégie suivie depuis des dizaines d’années (qui lui a fait tant de mal !), quitte à y revenir au bout d’un moment en cas de bilan négatif...
Chico