Les alternatifs citoyens sont favorables à l’unité des "forces antilibérales".
Ils ont été à ce point stupéfiés par les ors du conseil régional qu’ils oublient même la précaution cosmétique forces "libérales" et "anticapitalistes" dont se pare le PCF pour donner le change.
Sur le fond, ces élus revendiquent le bilan de Huchon, ex directeur général du groupe PPR, fervent partisan de de la délégation au privé des missions de service public, partisan acharné du financement public de la formation privée et des entreprises capitalistes.
L’immersion dans les institutions brouille un peu la perspective.
On comprend dès lors que la démarche du NPA leur soit insupportable.
Mais c’est vrai, quand les libéraux de gauche privatisent, aux plans national, régional, départmental ou municipal, certains antilibéraux tournant la tête.
Buffet/Mélenchon sous Jospin, Autain sous Délanoé, le vice-président de la commission des affaires sociales sous Vallini (Isère), etc.
Le mouvement ouvrier et le socialisme en crèvent de ses reniements.
Si vous ne comprenez pas qu’il faut changer de logiciel, les capitalistes ont encore de beaux jours devant eux.
Et si on revenait aux fondamentaux de la lutte des classes ?
Les alternatifs citoyens sont favorables à l’unité des "forces antilibérales".
Ils ont été à ce point stupéfiés par les ors du conseil régional qu’ils oublient même la précaution cosmétique forces "libérales" et "anticapitalistes" dont se pare le PCF pour donner le change.
Sur le fond, ces élus revendiquent le bilan de Huchon, ex directeur général du groupe PPR, fervent partisan de de la délégation au privé des missions de service public, partisan acharné du financement public de la formation privée et des entreprises capitalistes.
L’immersion dans les institutions brouille un peu la perspective.
On comprend dès lors que la démarche du NPA leur soit insupportable.
Mais c’est vrai, quand les libéraux de gauche privatisent, aux plans national, régional, départmental ou municipal, certains antilibéraux tournant la tête.
Buffet/Mélenchon sous Jospin, Autain sous Délanoé, le vice-président de la commission des affaires sociales sous Vallini (Isère), etc.
Le mouvement ouvrier et le socialisme en crèvent de ses reniements.
Si vous ne comprenez pas qu’il faut changer de logiciel, les capitalistes ont encore de beaux jours devant eux.
Et si on revenait aux fondamentaux de la lutte des classes ?