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L’Iran dément travailler sur un composant pour une bombe nucléaire

15 décembre 2009, 12:30

BHO et l’Afghanistan : l’approche psychologique

15/12/2009 - Bloc-Notes

La question des motifs de la décision d’Obama en faveur d’un renforcement de la guerre en Afghanistan est envisagée par l’activiste et ancien sénateur de l’Alaska Mike Gravel du point de vue de la psychologie du président. L’explication est intéressante parce qu’elle rejoint celle qu’on avait donnée de l’attitude de Clinton dans les diverses et très nombreuses occurrences où ce président ordonna l’emploi de la force durant ses deux mandats (diverses attaques aériennes en Irak lorsque l’USAF contrôlait avec la RAF l’espace aérien du pays en conjonction avec l’embargo, en ex-Yougoslavie à partir de 1995, divers tirs de missiles en actions de représailles d’actes de terrorisme ou en d’autres circonstances, comme lors de tirs de missiles de croisière contre les bases d’Al Qaïda en Afghanistan en 1998, jusqu’à la culmination de la guerre du Kosovo en 1999).

Pour Gravel, l’attitude d’Obama, comme celle de Clinton, s’explique par le complexe d’hommes qui n’ont pas servi dans l’armée, par rapport aux militaires et à l’importance que l’emploi systématique de la force militaire tient dans la politique US. Gravel, qui a servi dans l’U.S. Army, estime que l’expérience du combat est un argument puissant chez un homme qui devient président, et qui justement ne souffre pas de ce complexe, pour se montrer extrêmement prudent dans l’emploi de la force militaire, avec l’expérience qu’il a de la réalité horrible de la guerre.

(D’une certaine façon, cette explication vaudrait également pour Bush et Cheney, qui furent également très généreux dans l’emploi de la force militaire, comme l’on sait. Aucun des deux ne connut la réalité des combats, alors qu’ils étaient en âge de se battre au Vietnam.

Bush s’arrangea pour faire un service dans la force aérienne de la Garde Nationale et resta aux USA, et Cheney évita purement et simplement le service militaire et l’envoi probable au Vietnam selon des arrangements d’influence parce que, selon ses étranges explications, “il avait d’autres priorités”.)......

http://www.dedefensa.org/article-bho_et_l_afghanistan_l_approche_psychologique_15_12_2009.html

De victor Jara à Guantanamo : la même CIA (39)

par morice mardi 15 décembre 2009 -

Certains avaient pu s’étonner, à la lecture de mes épisodes, de l’opération visiblement menée par la CIA visant à importer des voitures neuves des Etats-Unis, ou des véhicules récents volés, pour les retrouver au milieu des explosions de Bagdad ou d’autres villes du pays.

Opérations douteuses de "cover up" visant à déstabiliser le pays, en montant l’une contre l’autre les deux factions religieuses chiite et sunnite. Or, à tout bien regarder, on ne doit pas en être trop étonné : ces opérations de déstabilisation avaient commencé bien avant l’invasion du pays en 2003, et elles visaient à cette époque à tenter de pousser Saddam Hussein à se venger de ses propres généraux, qu’une habile opération secrète aurait rendu responsable d’attentats contre sa personne. Un Saddam rendu fou furieux n’aurait pas hésité à s’en prendre à ses propres cadres, on le sait. C’était bien là le plan prévu, qui comportait donc des contacts avec des dissidents parmi le staff de militaires de Saddam Hussein.

Six ans après la capture de celui-ci, ses liens existent toujours, à n’en point douter. La CIA les a gardés, au cas où.........

http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/de-victor-jara-a-guantanamo-la-63019