Les élections régionales de mars 2010 : un voile démocratique peut cacher une dictature.
6 mars 2010, 11:48, par Copas
Même si le NPA peine à chuchoter encore quelques questions sociales notamment autour de l’emploi, le fait que cette organisation se prenne au jeu du marketing politique décrédibilise son programme antilibéral.Et oui, il est préférable d’oublier les revendications du peuple quand ce sont les lobbies et le Medef qui gouvernent, sous prétexte que le socialisme, dépassé, est un vestige du XIXème siècle. Bref, vous aurez saisi mon point de vue, les élections même régionales, ne risquent pas d’apporter le changement, encore moins la démocratie directe et populaire dans ce pays. Par exemple, un conseil régional a beau être géré par la gauche (caviar), cela n’empêche pas ces mêmes collectivités d’autoriser l’implantation d’un « canceropôle » géré entre autres par la multinationale Sanofi-Aventis sur l’ancien site toulousain d’AZF, où Total a par ailleurs été écarté de toute responsabilité dans l’explosion.
Mauvaise juxtaposition, le NPA comme LO se distinguent justement par le fait qu’ils soient indépendants d’une façon intransigeante à se mettre au service de la bourgeoisie. Et c’est une marque de fabrique de l’un d’être anti-capitaliste et pour le socialisme du XXIeme siècle , donc meilleure argumentation à faire que ces glissements indignes non argumentés.
Bref dans un même paragraphe mettre en juxtaposition les deux est une erreur, ou une manipulation.
Ni LO ni le NPA n’oublient, pour l’essentiel, les revendications populaires.
Une bizarre omission, le PC dans cet article.
Par contre, le NPA entretient en son sein des illusions sur les possibilités de la gauche institutionnelle (la gauche de gestion libérale, PC PS EE PdG) et sur le système électoral, mais ça nécessiterait une autre réflexion sur le sujet.
De même que oui, il entretient des illusions sur la façon dont se font les conquêtes, en ne levant pas le voile sur le fait qu’elles ne se feront pas par des élus dans le cadre de cette démocratie là, même si certaines conquêtes peuvent ainsi se conclure.
Les conquêtes de 1936 ont nécessité la mobilisation populaire, dés que celle-ci retomba , l’escalier vers Pétain fut dégagé.
Les conquêtes de 1945 se firent sur la base d’un peuple en armes, dés que celles-ci furent rendues, que la gauche aida à reconstruire l’appareil productif, la marche vers la stabilisation du capitalisme fut assurée.
Les conquêtes de 1968 se fit par la plus grande grève française de tous les temps (et les conquêtes furent concédées par la droite ), la fin de 1968 et ses lendemains vit la longue marche vers la re-stabilisation de la bourgeoisie et sa bataille pour reprendre tout ce qui avait été concéder.
Mauvaise juxtaposition, le NPA comme LO se distinguent justement par le fait qu’ils soient indépendants d’une façon intransigeante à se mettre au service de la bourgeoisie. Et c’est une marque de fabrique de l’un d’être anti-capitaliste et pour le socialisme du XXIeme siècle , donc meilleure argumentation à faire que ces glissements indignes non argumentés.
Bref dans un même paragraphe mettre en juxtaposition les deux est une erreur, ou une manipulation.
Ni LO ni le NPA n’oublient, pour l’essentiel, les revendications populaires.
Une bizarre omission, le PC dans cet article.
Par contre, le NPA entretient en son sein des illusions sur les possibilités de la gauche institutionnelle (la gauche de gestion libérale, PC PS EE PdG) et sur le système électoral, mais ça nécessiterait une autre réflexion sur le sujet.
De même que oui, il entretient des illusions sur la façon dont se font les conquêtes, en ne levant pas le voile sur le fait qu’elles ne se feront pas par des élus dans le cadre de cette démocratie là, même si certaines conquêtes peuvent ainsi se conclure.
Les conquêtes de 1936 ont nécessité la mobilisation populaire, dés que celle-ci retomba , l’escalier vers Pétain fut dégagé.
Les conquêtes de 1945 se firent sur la base d’un peuple en armes, dés que celles-ci furent rendues, que la gauche aida à reconstruire l’appareil productif, la marche vers la stabilisation du capitalisme fut assurée.
Les conquêtes de 1968 se fit par la plus grande grève française de tous les temps (et les conquêtes furent concédées par la droite ), la fin de 1968 et ses lendemains vit la longue marche vers la re-stabilisation de la bourgeoisie et sa bataille pour reprendre tout ce qui avait été concéder.