Accueil > Albert Jacquard appelle à évacuer les squats, à Paris Sarkozy exécute...

Albert Jacquard appelle à évacuer les squats, à Paris Sarkozy exécute...

Publie le vendredi 2 septembre 2005 par Open-Publishing
10 commentaires

Albert Jacquard appelle à évacuer les squats et à reloger les squatteurs

A Paris, la police évacue deux immeubles squattés

de Pascal Ceaux, Cécile Prieur et Piotr Smolar

La police a procédé à l’évacuation, vendredi 2 septembre, au matin de deux immeubles parisiens, au 4, rue de la Fraternité dans le 19e arrondissement et au 26, rue de la Tombe-Issoire (14e), tous deux squattés par des familles africaines depuis plusieurs années. Selon la préfecture de police de Paris, les personnes évacuées sont des "occupants sans droit ni titre" dans des immeubles "connus des services de sécurité pour comporter des risques à l’occupation ".

Ces opérations interviennent après que le ministre de l’intérieur, Nicolas Sarkozy, eut déclaré mardi qu’il fallait fermer tous les squats et tous les immeubles insalubres, à la suite des incendies des rues du Roi-Doré et du boulevard Vincent-Auriol, qui ont fait 24 morts.

Rue de la Fraternité, dans le 19e arrondissement, l’opération de police a pris les habitants par surprise. Les CRS sont intervenus vers 7 heures pour expulser les 70 habitants du squat. Selon Gassama Mady Ewa, président du collectif des sans-papiers du 19e arrondissement, les occupants "étaient sur le qui-vive" . "Nous savions que le préfet n’hésiterait pas à appliquer les mesures annoncées par le ministre de l’intérieur, Nicolas Sarkozy."

Vers 9 heures, sur le trottoir, au carrefour des rues de la Liberté de l’Egalité et de la Fraternité, les personnes expulsées entassaient leurs affaires. Des valises, des sacs poubelle en plastique, des cartons de fortune servaient à ranger leurs quelques biens. Les habitants ne comprenaient pas les raisons de l’expulsion. Ils disaient avoir effectué des exercices d’évacuation en cas d’incendie et établi des rondes de veille permanentes la nuit. "On est là pour l’instant, clamait un habitant expulsé. Nous n’évacuerons pas, surtout que c’est le jour de ma rentrée des classes pour les enfants."

La décision d’évacuation a été obtenue de la préfecture par le propriétaire privé, un marchand de biens. Un projet de relogement des familles, prévu pour mars 2006, était pourtant à l’étude entre la mairie du 19e, la préfecture, la Fondation Abbé Pierre et les associations de quartier. Ces dernières affirment que l’immeuble n’était pas le plus insalubre de l’arrondissement. Et les habitants, essentiellement des personnes d’origine africaine, dont 30 étaient en situation irrégulière, étaient bien intégrés dans le quartier. La mairie de Paris a annoncé, vendredi matin, qu’elle prenait "à sa charge entière" le relogement des habitants en situation régulière.

A l’autre bout de Paris, la même scène se répétait au 26-30, rue de la Tombe-Issoire, où la police avait bouclé le quartier dès 7 heures 30, pour procéder à l’évacuation des 70 personnes, d’origine Ivoirienne pour la plupart, qui habitaient l’immeuble. Prévenus la veille des rumeurs d’évacuation, des membres de collectifs de soutien et de la Ligue des droits de l’homme, étaient présents dès l’aube, sur les lieux.

Squatté depuis quatre ans, l’endroit est une parcelle de 2 700 m2, qui abrite la Ferme de Montsouris, considéré comme la dernière de Paris, ainsi qu’une carrière médiévale dans ses sous-sols. Depuis plusieurs années, ce lieu est l’objet d’un affrontement entre un Collectif d’associations du 14e arrondissement, qui souhaite préserver le domaine et la société immobilière Soferim, qui a racheté l’immeuble en mars 2003.

En juillet 2004, une première évacuation partielle des lieux, concernant 25 personnes avait été effectuée, en raison d’un "risque d’effondrement" selon la préfecture. L’immeuble a ensuite été déclaré "inhabitable irrémédiablement" par la Ddass à la suite d’un arrêté préfectoral du 30 juin, confirmé par une ordonnance du tribunal administratif de Paris du 5 août. Depuis cette date, la Soferim attendait des services préfectoraux qu’ils procèdent à l’expulsion. "Il s’agit d’un immeuble dont nous ne cessons de dénoncer la dangerosité, explique Christine Phal, responsable de la communication de la Soferim. Les événements récents, avec les incendies, nous ont donné raison." Arrivé sur place vers 8 heures, avec des camions de déménagement, le promoteur immobilier a loué des chambres d’hôtels pour les quinze prochains jours et assurera un garde-meuble pendant un mois.

Au total, la préfecture de police a recensé une soixantaine de squats dans la capitale, dont une vingtaine constituent des cibles prioritaires en raison des risques élevés pesant sur les habitants. Les services préfectoraux se défendent toutefois de découvrir le problème à a la suite des deux incendies mortels. "Nous n’avons jamais arrêté d’évacuer les squats et les immeubles en péril, soit pour des raisons de sécurité soit pour exécuter une décision judiciaire, le plus souvent à la demande des propriétaires", soulignait, jeudi 1er septembre, l’entourage du préfet Pierre Mutz. Onze squats ont ainsi été vidés de leurs occupants depuis janvier et 111 depuis 2002.

Depuis la déclaration de Nicolas Sarkozy, les visites de diagnostic dans les immeubles aux conditions de sécurité douteuses s’accélèrent. Elles sont conduites par des architectes de la préfecture, les sapeurs-pompiers et des représentants du service de l’habitat de la mairie de Paris. "Plusieurs centaines, mais moins de mille" habitations seraient concernées. Leur visite devrait prendre "quelques semaines, peut-être un mois" , indique la préfecture. "Il n’est pas exclu que, dans certains cas, des gens payant tout à fait normalement leur loyer soient contraints de quitter leur logement, par la force si nécessaire, pour des raisons de sécurité" , explique un conseiller du préfet.

http://www.lemonde.fr/web/article/0...

Messages

  • et quelle inhumanité, et kelle constance à prendre toujours les problèmes à l’envers. le parallèle entre les afroaméricains a la rue à la nouvelle orléans sans eau potable et les africains brulés dans les taudis en france, kelle preuve, comme ces images sont accusatrises, impitoyables, des blacks descendants de l’esclavage rejetés dans le caniveau, les immeubles pourris des immigrés ivoiriens partis en fumée, on nettoie, on en profite ensuite -POUR LEUR BIEN- pour niker la rentrée scolaire des petits et virer tous les malheureux ki n’avaient trouvé ke cette solution inconfortable on leur file 15 jours d’hotel, ça fé exactement d’une pierre deux coups, une bonne occasion pour se débarasser de ces indésirables, à tel point k’on se demande...

    amilcar

  • Sarko appelle cela : Discrimination Positive .

    C’est d’ailleur ce qu’il fait avec les Afro-Français .
    Le jours de la rentrée des classes 6:00 du mat. coups de pompe dans les portes , tous assis dans le couloir , les mains sur la tête .

    RAUS , RAUS !! SNELL ! PAPIER ! DEPORTIERUNG !

  • Honte à ceux qui acceptent de participer à çà !
    Honte à ceux qui acceptent d’obéir à des ordres d’un monde que je croyais révolu !

  • Sarko, fait ce qu’on te dit !
    On te dit de recenser les immeubles vides pour faire de l’attribution
    d’urgence et tu fais semblent de compter les squats pour évacuer
    médiatiquement le gros problème...
    Ah c’est plus rapide et ça fait son ptit effets, et puis faut les occuper
    ces tonnes de crs, ça sert de temps en temps....l’intérieur..
    Bon maintenant fini le cinéma.
    Avec les économies que tu pourras faire sur les flics, les pompiers, les
    éducateurs, les charters, les medoc et toute la daube que l’état traîne
    depuis des lustres dans la remorque de la misère, tu vas pouvoir dédommager
    tes copains gros proprio de l’ump et leurs permettre de se réhabiliter en
    méme temps que leur patrimoine spéculatif inhabité ! y’a de la place ! ! !
    Et fait pas le malin, on t’as a l’oeil....et au doigt !

    Enfoiré.

    Belshazzar
    JCR

  • Bush/Blair/Sharon/Poutine/Chirac/Sarko même combat !
    Qu’est-ce que ça vaut la vie d’un pauvre ?
    Et en plus s’il est noir, arabe, tchetchene ? me faites pas rigoler !

  • ecouter s’il faut tuer ses parents pour gagner une trentaine de voix sarko le fera en plus forte raison des famille d’immigres africaines noir, alors il faut pas s’ettonner de le voir reagir ainsi et de plus il n’est meme pas français alors c’est pour cette raison qu’il ne supporte pas d’autres arrivant comme lui .

  • Incendie de Vincent Auriol : Dieudonné témoigne
    J’ai été affligé par l’annonce de ce drame, outré par le fait que ce soit encore une fois des familles africaines qui payent le plus lourd tribu. Après les avions pourris d’outre-mer, cette fois, c’est des logements des plus insalubres peuplés par des familles d’origine africaine qui brûlent.

    Je me suis rendu sur les lieux le jour même et j’ai eu le sentiment d’appartenir à une sous-population : exclue de l’histoire de ce pays, exclue des manuels scolaires, et maintenant sacrifiée sur l’autel du profit.

    En plus de ce drame atroce où 14 enfants ont trouvé la mort, il a fallu supporter les déclarations insultantes de la classe politique : entre les jérémiades de circonstance de Bertrand Delanoë et les insultes directes de Sarkozy, il fallait réagir.

    Avec quelques membres des ogres, nous nous sommes donc présentés devant le gymnase où étaient provisoirement parquées les victimes de l’incendie. Je dis parqués parce que l’accès au gymnase n’était pas libre, il y avait là un sous-préfet entouré de sa garde qui était chargée de filtrer les entrées. J’ai été reconnu par les enfants qui m’ont ensuite demandé d’assister leurs parents dans les négociations avec les autorités. La plupart des victimes était psychologiquement et émotionnellement perturbées et un certain nombre ne maîtrisaient pas parfaitement le français.

    Après quelques discussions avec le sous-préfet, je me suis fait reconduire à la « frontière » du gymnase.

    Il est clair que la volonté d’étouffer le scandale a commencé par ces négociations quelques heures après le drame et ce, sans que les victimes n’aient pu être représentées, ni par un avocat ni par la personne de leur choix, en l’occurrence, moi !

    Un porte-parole a été désigné par les autorités publiques alors que les familles ne se sentaient pas représentées par cette personne. La cerise sur le gâteau étant les enveloppes de 450 euros que j’ai entre-aperçues et dont la fonction était d’endormir, de manière obscène, des personnes déjà épuisées et complètement démunies.

    Le paternalisme arrogant des autorités m’a laissé un arrière goût de vomi... Le sous-préfet allant même jusqu’à me dire qu’il pourrait m’utiliser comme joker au moment voulu. C’est pour vous dire jusqu’où ont été portés le cynisme et la manipulation.

    Malgré les protestations des familles, les portes des négociations sont restées closes et les manipulations ont pu se dérouler à huis-clos.

    Le lundi 29 août, à 18h, alors qu’une réunion au sommet était prévue avec la mairie du 13ème et les autorités, les choses se sont passées de la même manière en ce qui nous concerne. Là encore, les familles ont été isolées de leurs soutiens sans pouvoir se défendre.

    Le lendemain, une "manifestation silencieuse" était organisée du Quai de la gare (lieu du drame) à la place d’Italie (mairie du 13ème arrondissement). Il y avait là des enfants victimes de l’incendie. Ils portaient des panneaux avec les noms et les âges des enfants brûlés par les flammes.

    Quand la marche est arrivée à son terminus, à savoir la mairie du 13ème, une organisatrice a tenté d’endormir définitivement la foule en nous racontant des berceuses qui n’ont fait qu’exciter la colère bien légitime des manifestants : la responsabilité du maire étant de toute évidence totale et pénale.
    Les manifestants ont finalement bravé les limites autorisées de la manifestation et ont poursuivi la marche en direction du gymnase de la Porte d’Italie, en scandant : « Chirac assassin », « Delanoë assassin », « Sarkozy assassin ».

    Je me suis retrouvé en tête de cortège avec le camarade Stomy Bugsy, entouré de jeunes filles victimes de l’incendie et dont une, à ma gauche, avait perdu huit de ses frères et sœurs dans ce drame et dont le père se retrouve paralysé.

    Nous avons marché entre les voitures, sans aucun cordon de sécurité malgré l’absence d’autorisation. Nous avons suivi ces jeunes filles dont la dignité et le courage nous ont illuminés.

    Elles portaient dans leurs regards cette soif de justice à laquelle je suis particulièrement sensible.

    Dieudonné M’bala M’bala.

    source exclusive : www.lesogres.org

    INCENDIES A PARIS : Négligence, mépris, Discrimination raciale des Noirs de France, des réfugiés politiques et des pauvres.

    Jacques Chirac :

    "Notre problème, ce n’est pas les étrangers, c’est qu’il y a overdose. C’est peut-être vrai qu’il n’y a pas plus d’étrangers qu’avant la guerre, mais ce n’est PAS LES MEMES et ça fait une différence. Il est certain que d’avoir des Espagnols, des Polonais et des Portugais travaillant chez nous, ça pose moins de problèmes que d’avoir DES MUSULMANS ET DES NOIRS.

    [...]

    Comment voulez-vous, que le travailleur français, qui travaille avec sa femme et qui ensemble gagnent environ 15.000 francs, et qui voit sur le pallier à côté de son HLM entassée une famille avec un père de famille, trois ou quatre épouses et une vingtaine de gosses, et qui gagne 50.000 francs de prestations sociales sans naturellement travailler, si vous ajoutez à cela LE BRUIT ET L’ODEUR, eh bien le travailleur français sur le pallier il devient devient fou ! Et ce n’est pas être raciste que de dire cela..."

    Chirac n’a jamais été poursuivi. Sarkozy est aux commandes.

    • ON S’en FOUT DES NEGRES À PARIS : Et un ! Et deux ! Et trois Z’immeubles

      Jamais une expression devenue une lapalissade ou une lapalissade devenue expression commune ne s’était aussi bien vérifiée et portée comme l’est celle-ci aujourd’hui avec les incendies meurtriers qui touchent encore et toujours les mêmes : Les NEGRES à PARIS. La question est de savoir après les incendies de Paris qualifiés par certains de « lois de séries » quels seront les prochains foyers africains qui seront sous les feux de l’incendie euh… de la rampe devrait-on dire.

      Et un ! Et deux ! Et trois ! Euh… et trois ! Et un ! Et deux ! Et trois ! Euh… et trois et trois Z’immeubles.

      En 1998 paradant sur l’avenue des champs-Elysés, Paris avait, l’instant d’une soirée d’euphorie oublié que cette victoire à la coupe du monde était un chantier dans lequel les NEGRES avaient pris part et construit. Ne voyant que son intérêt, Paris ne s’est pas préoccupé des auteurs, des bâtisseurs de cette victoire.
      Une fois l’euphorie passée, la réalité reprend le dessus, Paris renoue avec ses vieilles habitudes envers ceux et celles qui contribuent à son éclat, à son rayonnement.
      La discrimination, l’humiliation, le mépris, la négrophobie sont le lot quotidien des NEGRES.

      Comme le triomphe de l’injustice ne saurait perdurer, Paris a payé son manque de considération envers ceux et celles qui font sa grandeur, son aura. La non obtention des jeux olympiques de 2012 est le résultat de ce dénigrement, de cette humiliation. Car loin de glorifier ses héros, de mettre en exergue sa culture « colorée » comme Londres l’a fait, on s’est contenté à Paris de montrer un Paris leucoderme (NDLR : nom scientifique pour « blanc »), occultant sa diversité.

      Que nous révèlent les incendies de ces derniers jours au-delà de l’affliction des familles, de la déréliction dans laquelle elles se trouvent ? Ces incendies nous montrent s’il en était encore besoin que : ON S’en FOUT DES NEGRES A PARIS.

      Oui ! On s’en fout des Nègres à Paris. Les Nègres sont tellement insignifiants que même dans des épreuves douloureuses, ils continuent à être accablés, montrés du doigt, ils sont même culpabilisés d’être des victimes comme si par leur volonté, ils l’avaient choisi.

      Du ministère de l’intérieur jusqu’aux organismes de gestion des immeubles incendiés, en passant par les mairies des quartiers concernés et les différents quotidiens nationaux comme locaux, il n’est pas un seul discours qui ne mettait en cause les victimes.
      Au-delà des compassions de circonstance et de façade auxquelles nous avions droit, Télévision oblige, il est à noter que dans chaque intervention, le nombre de personnes constituant les familles des victimes était mentionné.

      Certaines familles même en possession de leurs papiers et d’un travail donc d’un salaire ne dérogent pas à l’appellation générique et avilissant de SQUATTEURS. Pourtant elles s’acquittent bien d’un loyer mensuel pour la plupart exorbitant au regard de l’insalubrité des logements.

      Loin de la question nerveuse de la discrimination au logement que connaissent ces familles parce que NEGRES, les autorités préfèrent dévier le débat et l’orienter vers le terrain de la fécondité des familles. L’on culpabilise les victimes parce que fécondes. Nous ne savons pas encore ce qui retient les uns et les autres de franchir le cap et de dire le fond de leurs pensées, comme en son temps le maire de Paris de l’époque n’a pas hésité à associer la pestilence aux NEGRES. Formule qui a tellement bien marché qu’un certain animateur de France 3 n’a pas hésité à la reprendre dans une de ses émissions, pour faire « payer » à un humoriste (Dieudonné Mbala Mbala) son « outrecuidance » pour avoir dénoncé les exactions d’une certaines franges de personnes ayant pignon sur rue en Israël.
      Depuis quand devrait-on être « objet » d’humiliation ou dénigrements divers parce qu’on a une famille avec plusieurs enfants ? La fécondité serait-elle selon que l’on est (naît) africain ou autre une source de culpabilisation ? Y’en aurait-il qui aient plus de droit à faire des enfants et d’autres pas ?

      La vraie question qui se pose aujourd’hui est celle de la politique à mener afin d’enrayer les discriminations, toutes les discriminations en commençant par celles au logement que connaissent ces familles africaines et nègres en général afin que la précarité dont tout le monde se plaît à dénoncer face aux cameras de télévision et que l’on approuve hors, ne cesse de faire des victimes. Ce problème loin d’être une découverte d’aujourd’hui est une donnée constante qu’entretiennent tous les gouvernements respectifs de la France.

      Les autorités ne peuvent plus se cacher derrière des prétextes tous fallacieux les uns que les autres, pour occulter une incompétence mieux, une volonté politique orientée vers l’extermination des minorités noires. Cette position n’est plus crédible l’a-t-elle jamais été ? Seulement dans les consciences de ceux qui l’ont construite. Pour nous elle est indéfendable et nous mettrons tout en œuvre pour la vaincre.

      Aimé Césaire disait à ce propos : « Une civilisation qui ruse avec ses principes est une civilisation moribonde (…) cette France (1) là est impuissante à se justifier et que, de plus en plus, elle se réfugie dans une hypocrisie d’autant plus odieuse qu’elle a de moins en moins de chance de tromper (…) La France est indéfendable »

      (1) Intentionnellement j’ai remplacé le mot Europe par France.

  • UNE SOCIETE A LA SOLUTION

    pour éviter de parquer les gens dans les hôtels

    TOUT LE MONDE

    Souhaite des logements adaptés aux situations des familles

    Souhaite des logements propres, spacieux, clairs, conforment aux normes de sécurité

    Souhaite de grands appartements pour accueillir les familles souvent nombreuses

    Souhaite des loyers modérés tant pour l’état pendant la prise en charge de la personne que pour le locataire quand on lui proposera un bail direct.

    Souhaite des logements qui pourraient être mis en grand nombre sur le marché pour palier à la pénurie de logements sociaux.

    Une société à déjà passée des contrats avec un Conseil Général ( qui n’est pas celui de Paris ), ce qui à permis :

    A une famille ( 1 mère avec ses 4 enfants ) qui croupissait dans un hôtel de pouvoir intégrer un appartement neuf de 70m2 entièrement meublé et équipé de neuf ( meubles, batterie de cuisine, …..cafetière….), dans une résidence neuve et très bien fréquentée.

    A une mère qui était séparée de sont fils de se voir proposée un T2 de 50m2. Compte tenu qu’elle dormait chez une copine elle ne pouvait pas le récupérer , ce qui est chose faite à ce jour.

    Cette entreprise à proposée à la DASS de Paris ( il y a un mois ) 57 logements du T2 au T5 qui auraient pu accueillir plus de 400 personnes, à la fois sur Paris et sur la Seine Saint-Denis. Ces logements réunissent tous les avantages cités précédemment.

    Cela veut dire que cette société est capable de mettre sur le marché des dizaines d’appartements neufs tout en faisant économiser à l’état les millions qui sont investit dans ces « hôtels de la honte ».

    La DASS de Paris n’a pas donnée suite à cette proposition en invoquant le fait que la population qu’elle pouvait proposer était essentiellement des populations difficiles.

    Ils sont soit disant en train d’étudier un nouveau mode de logements. Réponse qui se passe de commentaires.

    Depuis 50 ans que le problème du logement existe, des dizaines de milliers de personnes se sont penchées sur le problème sans trouver le moindre début de solution si ce n’est que de sortir le chéquier pour des montants qui se chiffres en milliards d’euros et………toujours pas de solutions en vu.

    Cette info est sérieuse, c’est pas du bleuf. Je connais la société.