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projet pilote préfigurant future base de données européenne en belgique et france !
Publie le vendredi 1er septembre 2006 par Open-Publishing1 commentaire
Immigration
La Belgique garde les traces de doigts
Martin Buxant
(libre belgique)
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Les demandeurs de visas à destination de la Belgique doivent laisser leurs empreintes digitales.
Au Congo, au Mali. Bientôt au Rwanda et au Burundi.
Un projet pilote qui préfigure une future base de données européenne.
Une longueur d’avance. En anticipant la mise en place d’une banque de données européenne relative aux demandes de visas d’entrée sur le territoire de l’Union (prononcez « système VIS »), la Belgique et la France se placent parmi les meilleurs élèves de la classe. C’est que le projet pilote franco-belge (« Bio-Dev »), financé à hauteur de quelque 2 600 000 euros par la Commission européenne, s’est révélé à ce point concluant qu’une seconde phase va être lancée d’ici novembre 2006.
Concrètement, depuis mai 2005, des terminaux informatiques fabriqués par la société française Sagem ont été installés dans quatre postes consulaires belges : Kinshasa, Lubumbashi, Bamako et... Washington (pour les citoyens non-Américains). Kigali et Bujumbura seront équipés de terminaux dès novembre. Ainsi, les demandes de visas effectuées dans ces postes (10 551 à Kinshasa en 2005) sont-elles désormais assorties de la prise d’empreintes digitales. « En une minute, l’empreinte des doigts est prise et le tout est centralisé dans une base de données », note Katarina Smits, fonctionnaire de l’Office des étrangers en poste à Kinshasa. « On a constaté que cela ne retardait pas le travail dans les postes consulaires », constate l’un des pères du projet, Rudi Veestraeten, le directeur général des Affaires consulaires.
La banque de données est accessible depuis l’aéroport de Zaventem. Et les gardes-frontière peuvent ainsi s’assurer que la personne entrant sur le territoire belge est réellement celle ayant reçu un visa. « C’est très utile, surtout lorsque les documents d’identité sont de mauvaise qualité », précise Rudi Veestraeten. « Les Congolais réalisent que nous employons ce système, ajoute Katarina Smits, et donc le nombre de fraudes est en chute libre. » D’autre part, la prise des empreintes digitales permet d’éviter le « visa shopping » : la multiplication des demandes de visas d’une personne sous des identités différentes.
« Nombreuses questions »
Six autres Etats membres européens (l’Allemagne, le Luxembourg, l’Autriche, le Royaume-Uni, le Portugal et l’Espagne) rejoindront le « Bio-Dev2 » à partir de novembre. L’objectif est qu’au moins un poste frontière dans chacun de ces Etats européens soit équipé d’un terminal informatique. Mais
« de nombreuses questions se posent désormais au niveau de la coordination », relève Rudi Veestraeten. C’est qu’il faudra, dans les pays de départ, éviter les « doubles emplois » : ainsi les autorités européennes pourraient-elles localiser en un même endroit la prise des empreintes digitales.
« Percée technologique »
« Ce système, c’est un peu le bébé du ministère des Affaires étrangères », s’amuse un observateur gouvernemental qui remarque que, tout aussi opérationnel qu’il soit, « Bio-Dev2 » devra faire place en 2007 au système européen VIS. La plate-forme VIS, sur laquelle les ministres des Vingt-cinq se sont accordés, devrait néanmoins reposer sur une technologie analogue. « Bio-Dev2 » est une avancée technologique qui rend possible la mise en place d’un système à plus grande échelle », pointe encore Rudi Veestraeten.
Le VIS (« Visa Information System ») sera mis en place en plusieurs temps. D’abord, la base de données n’autorisera le stockage que d’informations alphanumériques avant d’être élargie, dans une seconde phase, aux photographies et aux paramètres biométriques.
Messages
1. projet pilote préfigurant future base de données européenne en belgique et france !, 28 septembre 2011, 20:13, par luis_schiffer
La Maison Schengen, quelle vaste blague ! Avec des fonctionnaires tels que Madame Katarina...
Nous voulons dénoncer ici le comportement indécent voir scandaleux de Madame Katarina Smits, fonctionnaire de l’Office des Etrangers de la Belgique.
Certains diront que ce que nous affirmons ne sont que allégations, calomnies ou encore jalousie..Soit !
Pourtant, nous sommes en mesure d’apporter des preuves matérielles à ce que nous vous révèlons..ou rappelons pour certains.
Madame Smits est installée actuellement à Kinshasa pour soit-disant "prêter main forte" à la Maison Schengen, faciliter les rapports entre les services d’immigration belge et congolaise mais surtout pour vivre avec son compagnon français d’origine congolaise résidant la capitale et père de sa petite fille.
En vérité, l’Ambassade de Belgique et la maison Schengen peuvent bien se dispenser de la présence permanente de Madame Smits, comme il n’y a pas si longtemps.
Madame Katarina s’occupe donc, comme vous le savez, d’intervenir pour l’octroie de visas aux ressortissants congolais. Ceci la rend manifestement plus importante qu’elle ne l’est en réalité aux yeux des plus nécessiteux.
Madame Smits gère aussi "personnellement" des fonds destinés à la réalisation de différents spots ou pièces de théatre favorisant la lutte contre l’immigration..
Auparavant, de ces nombreuses excursions au Congo, elle organisera entre-autre une campagne anti-immigration clandestine intitulée "Vonda na nboka", en collaboration avec des célèbrités locales telles que le musicien congolais Werrason et le journaliste Zacharie Bababasché (le promoteur réel du projet cité ci-dessus).
Nous savons parfaitement aujourd’hui que sa relation avec le chanteur Werrason avait nettement dépassé le cadre professionnel, et que la plupart des proches connaissent ce secret de Polichinelle au sein de l’Ambassage de Belgique à Kinshasa et même une partie de l’Office des Etrangers.. Le premier à ne pas l’ignorer, est certainement Mr Bababasché, qui fera aussi les frais de "l’appétit" de Madame Katarina..Son malheur à lui, est de n’avoir pu tenir sa langue, comme les autres... D’où actuellement ses démêlés connus de tous avec Madame Visas.
Vous constaterez aussi pour le cas de Werrason, malgré les fuites répetées de plusieurs membres de son groupe, celui-ci ne sera jamais inquiété et bénéficie toujours de facilité pour les visas à la différence d’autres...
Actuellement, il y a une serie de musiciens tels que Ferré Gola et Félix Wazekwa (pour les plus connus) qui souffrent toujours du refus d’obtention de visas pour leur orchestre. Comme l’a été d’ailleurs, il n’y a quelques mois à peine, le danseur congolais Fally Ipupa.
Mais voilà que ce dernier verra sa situation se débloquer comme par enchantement.. Les visas du danseur sont maintenant délivrés avec la rapidité de l’éclair et au bien delà ce sont même les membres voir éloignés de sa "famille" et "connaissances" qui bénéficient de la complaisance de Madame Katarina.
Pourtant, en réalité les griefs de la Belgique envers fally Ipupa sont exactement les mêmes que ceux reprochés à Félix Wazekwa ou Férré Gola (sanctionnés pour la fuite de plusieurs personnes du groupe sur le sol belge et européen), mais ceux-là sont toujours en disgrâces... Peut-être jusqu’au prochain jambage ?
Et comme la vérité finie toujours par éclater ! Rebelotte ! Nous avons découvert (sans grande surprise d’ailleurs..) que c’est au tour du jeune artiste Fally Ipupa (de presque 10ans son cadet) de jouir des faveurs de la "Dame aux visas".. Les preuves de leur liaison ? Les correspondances ainsi que les ébats "sexuels" de Madame Katarina Smits et Fally Ipupa ont été soigneusement enregistré et seront mis au grand jour, au besoin s’il en faut !
Pour notre part, nous estimons que c’est une faute professionnelle grave, de favoriser tel ou tel individu parce que Madame Katarina aurait une raison de coeur ou de corps, puis d’en défavoriser d’autres... Il n’y a aucune déontologie dans cette attitude, à négocier sexe contre visas..
Madame Smits, sachant mieux que quiconque que les musiciens et leurs groupes sont considérés parmis les plus grands passeurs de "Ngulu" (*), elle ne serait, à notre sens, plus à même de traiter les dossiers (de ses amants du moins) avec la rigueur et l’impartialité que requiert son travail.
Par contre, nous ne pouvons encore établir avec certitude d’après nos investigations, si Madame Katarina Smits percevrait à l’occasion une forme quelconque de compensation matérielle pour "services rendus". Sur ce point seulement, nous lui accorderons le bénéfice du doute.
Néanmoins tout ceci est profondement indigne pour une fonctionnaire belge et inacceptable !
Nous sommes donc en droit de contester le bien-fondé de la mission de Madame Smits au Congo, dans de telles circonstances.
La Belgique du reste, souvent critique à l’encontre des responsables congolais et de leur intégrité, se voit aujourd’hui bien mal représentée dans cette affaire..
C’est pourquoi nous dénonçons le comportement irresponsable de Madame Katarina Smits et le condamnons avec la plus grande fermeté !
Cette dernière doit arrêter d’utiliser les africains à ses "faims" personnelles et à les humilier !
En tous les cas, elle n’exercera plus son "droit de cuissage" sur le peuple congolais en échange de visas, sauf peut-être avec la passivité de son hiérarchie !
Sa réputation sulfureuse et sa vie privée débridée connu de tout le monde n’incombe qu’à elle il est vrai.., mais lorsque de tels actes des plus douteux déteignent sur le professionnalisme supposé de son travail, cela devient le problème de tous et de ceux qui sont lésés, et par l’injustice et par la crédibilité entachée de son institution, l’Office des Etrangers.
Sans parler qu’aujourd’hui, après une vie sentimentale des plus "exotiques" et dissolue, on aurait esperé enfin que sa maternité récente et son conjoint lui apportent une certaine retenue.
Il est donc nécèssaire que Madame Katarina Smits (simple fonctionnaire, mise au rang d’autorité par nos pairs congolais), n’honore plus ses engagements en République Démocratique du Congo, voir même en Afrique, et qu’elle soit immédiatement remplacée par une personne de meilleure moralité !
Enfin, nous exigeons qu’ une enquête soit diligeanté par les instances compétentes belges et congolaises, afin de mettre fin à ses agissements honteux !
De toutes ces affirmations, nous l’assumons pleinement et mettons quiconque au défi de nous prouver le contraire. Les preuves indubitables, nous ne manquerons pas de vous les exposer en temps utiles. Et il y aura vraisemblablement beaucoup de remous et une plus forte mobilisation encore cette fois-ci, s’il en faut ! Car, dans cette affaire les témoignages sont légion et abondent de jour en jour !
Affaire à suivre !
Ngulu (*) Ce sont les voyageurs qui obtiennent un visa de cour-sejour généralement et qui ne rentre jamais au pays...
http://www.tele50.com/INWS/index.php?option=com_content&view=article&catid=61:general&id=298:faut-il-chasser-mlle&Itemid=88
http://www.lalibre.be/actu/international/article/531134/immigration-5-000-dollars-pour-un-visa.html