Accueil > Sauvons les riches contre les gaz de schiste !

Sauvons les riches contre les gaz de schiste !

Publie le mardi 1er février 2011 par Open-Publishing
2 commentaires

RDV mercredi 2 février 8h (!) devant le 22 avenue de Matignon (8ème)

Dresscode Costume (texan) ou casque de chantier selon les goûts

L’encre du texte Grenelle II est à peine sèche (et les décrets toujours en attente) que l’esprit du texte est déjà mort…
...

En Ile de France, c’est en Seine et Marne que va démarrer (ce mois-ci !) les forages d’exploration.

Tel un chiffon rouge pour Sauvons les riches, Toreador Resources, dirigée par Julien Balkany (frère cadet) est dans les starting blocks pour faire de la Seine et Marne un nouveau Texas, rempli de derricks et saturé de camions (il faut un ballet de 200 camions par forage), mais avec moins de réserve en eau (puisque chaque forage mobilise 3 piscines olympiques, sans compter les adjuvants et autres produits chimiques)....

 http://sauvonslesriches.fr/?p=524

Messages

  • Le pb tel qu’il se pose :

    -Avons- nous besoin de gaz ?

    -Y a-t-il du gaz ?

    -Si oui, comment le capter proprement et efficacement ?

    Le reste c’est du baratin...pour les bobos qui n’ont jamais froid aux mains !

    • Tu poses bien la question. Je ne connais pas la Seine et Marne mais le Larzac, un peu. Le Larzac est devenu comme le Luberon et l’Ardèche, la Dordogne et le Lot, un territoire annexé par les bobos où les pauvres n’ont plus droit de cité car les loyers y sont devenus inabordables, où les jeunes agriculteurs ne peuvent plus s’installer parce que la pègre de l’immobilier y a posé ses règles. Pas étonnant que José Bovidé prenne les positions que l’on sait à ce propos : il est la voix des bobos de son coin et d’ailleurs. L’écolo-déculpabilisant de tous ces babas nantis qui retapent des bergeries pour en faire des "Relais Châteaux" et qui transforment les bleds en villages fantômes avec galeries d’art et restaux végétariens.

      Alors se pose la question de cette ressource. La bonne question que tu poses. En a t-on besoin ? Et la question annexe : qui va l’exploiter ? Cela, on le sait. Et on imagine quelles saloperies politiques se trament par en dessous. Mais la ressource en tant que telle ?