On ne sait rien de la situation de l’hélicoptère et du président iranien Raïssi
Qu’il soit vivant ou mort, qu’ils les aient trouvés ou non. La nouvelle donnée quelques secondes plus tôt est alors démentie. Qui dit une chose et qui en dit une autre. D’après ce que l’on peut comprendre, un sentiment personnel que je vous demande de prendre avec des pincettes, c’est qu’il s’agit d’une attaque.
Lors de la rencontre avec le président de l’Azerbaïdjan qui a eu lieu quelques heures plus tôt, il avait déclaré que beaucoup n’aimaient pas cette rencontre. Les responsables américains ont déclaré que Raïssi avait été assassiné et n’ont rien divulgué en provenance d’Iran. Il semble donc qu’ils essaient de bien comprendre la situation avant de dire quoi que ce soit, car ce qui s’est passé aboutit très probablement à une escalade sans précédent.
Escalade avec l’Iran qui recherche les criminels qui font partie du gouvernement israélien depuis le premier jour. Une chose est sûre, en Israël, les gens se réjouissent de cet événement comme si quelqu’un non seulement l’attendait, mais l’avait aussi planifié.
Le tweet d’"Israel War Room", un compte très suivi et influent, semble similaire au tweet d’un ministre polonais, qui remerciait les États-Unis après l’attaque terroriste contre les gazoducs Nord Stream.
Il y a du mauvais air qui passe et j’espère que ces lignes que je viens d’écrire feront l’objet de dérision. J’espère que ces lignes seront considérées comme une analyse de science-fiction dans quelques heures car si ce n’est pas le cas, la mesure sera pleine et prête à exploser.
Giuseppe Salamone
Un message, un commentaire ?
Pour participer à ce forum, vous devez vous enregistrer au préalable. Merci d’indiquer ci-dessous l’identifiant personnel qui vous a été fourni. Si vous n’êtes pas enregistré, vous devez vous inscrire.
Vos commentaires
# Le 20 mai à 11:30, par Pedro
S’il s’agit d’une attaque, ce qui n’est pas prouvé, sur ses commanditaires et leurs motivations, on peut tout imaginer.
Israël a livré des drones à l’Azerbaïdjan lors du conflit avec l’Arménie (l’Iran ne nie pas le génocide arménien, ce dont la Turquie peut lui tenir rigueur).